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[NC-16] « Do you wanna play with me ? »



 
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? »

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Yoon Dae Jung
Yoon Dae Jung
Matières : Economie
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Mar 5 Juin - 15:17


[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Yun_du10 [NC-16] « Do you wanna play with me ? » Tumblr_lxb7f5K2qq1qb75mc
Yoon Hyo feat. Yoon Dae Jung

« Do you wanna play with me ? »

Ma journée fut longue et épuisante. Pour une fois, j’avais mis les pieds dans l’amphithéâtre afin de m’affairer à quelque chose que je sais très bien faire. Exploit ? C’est bien plus que cela. En fait, je n’y mets uniquement les pieds que pour continuer ma nuit si courte sans qu’une quelconque absence ne soit retenue à mon égard et, de plus, j’évite ainsi les nouvelles foudres de mon vieux et très cher paternel. L’endroit, malgré lui, est assez studieux et bondés d’étudiants prenant des notes ou non. Il y règne toujours un grand silence que je n’apprécie vraiment pas et même si le professeur présent en face de nous anime son cour, ce n’est pas lui qui peut me déranger pour fermer les yeux. Justement, il a le don d’être soporifique ! Que ce vieux ose me dire quelque chose sur mon attitude, c’est ça ou je fous le camp d’ici. Dans la journée, je me suis souvenu que je n’avais pas été voir mon frère depuis quelques temps. Un miracle ? Non, je sais qu’il n’est jamais bien loin ; soit à la bibliothèque, soit dans sa chambre à crouler sous ses nombreux bouquins.

J’avais eu des choses à faire avec quelques types de l’extérieur. La plupart sont des mecs qui ne parviennent pas à régler leurs affaires, seuls. Et ça e serait, peut-être, le moment d’aller rendre visite à Hyo. Je le vois déjà en train de râler, de soupire lorsque je franchirais la porte, mais je sais qu’au fond de lui, qu’il adore ma présence. Que ferions-nous sans l’un ni l’autre ? Je me le demande. Je ressens toujours cette absence à mes côtés et parfois, j’ai peur de ce que l’avenir nous réserve. Pour le moment, je préfère ne pas y penser. Je vis au jour le jour et nous verrons ce que ça donnera dans quelques années. Ou pas. Je l’espère en tout cas que quoi qu’il arrive, rien ne pourra nous séparer.

La sonnerie retentie et je me lève de la ma chaise en attrapant au passage mon sac avant de me faufiler parmi la foule sortante à travers les couloirs. Là, chacun prend une direction différente et je m’apprête à suivre celle menant aux dortoirs. En fait, je ne me rends là-bas, mais je ne sais même pas s’il sera dans sa chambre et comme un imbécile, j’ai oublié mon téléphone portable sur ma table de chevet dans ma propre chambre. Tant pis, même s’il est absent ça pourrait m’occuper un petit moment de faire des allers et retours. J’ai encore deux heures de cours après cette pause improvisée, mais je n’ai vraiment pas envie d’y aller et je sais déjà que je n’y mettrais pas les pieds. Je préfère largement rester avec Hyo et vu qu’il a une année d’avance sur moi, c’est toujours un atout pour qu’il me fasse rattraper mon retard. De toute façon, c’est une idée totalement absurde. Je ne lui demanderais jamais. Je ne parviens même pas à suivre un cours, alors trouver une personne quelconque pour me donner des leçons supplémentaires, c’est une vulgaire rigolade ! Je marche une dizaine de minutes avant d’arriver à la porte du bâtiment et de l’ouvrir afin de m’introduire à l’intérieur et de monter les escaliers me menant à l’étage supérieure. Je traverse quelques mètres encore dans le couloir et frappe à l’une des portes. Doucement, je donne un léger coup dans celle-ci afin de savoir s’il y a quelqu’un. Ma demande restant sans réponse, j’entrouvre légèrement la porte et jette un coup d’œil à l’intérieur. Au loin, je vois le dos de mon frère. Il est assit sur une chaise, tête baissée face à son bureau. Il doit être en train de bosser sérieusement pour ne pas prendre la peine de répondre. Sans même demander une autorisation venant de sa part pour le déranger quelques minutes, je m’introduis dans la pièce tout en prenant de soin de refermer la porte derrière mon passage. Je m’approche de lui et dépose chacun de mes mains sur sa chaise et me penche pour regarder ce qu’il fait, mais ça, ce n’était plus une surprise.

• « Encore le nez dans tes bouquins ? T’as vraiment qu’ça à faire ? »

Un léger grognement se fait entendre sorti d’entre ses lèvre ce qui m’amuse fortement. Je compris que je le dérange dans un moment fatidique de sa lecture si importante. J’esquisse un sourire avant de m’abaisser et de mettre mon visage à proximité du sien. Volontairement, je laisse mon souffle se cogner contre sa peau et celle-ci ne me mens pas en y marquant un léger frisson tandis que Hyo ne laisse apparaître aucune expression. Alors, je décide de le taquiner un peu plus en lui mordant gentiment le cartilage de son oreille avant de laisser ma langue repasser après cette douce morsure comme pour me faire pardonner.

• « Tu ne veux pas prendre deux petites minutes pour t’amuser un peu ? »

Aussitôt, je pose mes mains sur ses épaules et y effectue un massage qui le fit soupirer de bien-être.

• « Tu as vraiment l’air tendu ces derniers temps. Tu dois avoir besoin d’aide pour te détendre, non ? »

Brusquement, je force sur son siège pour qu’il se retrouve face à moi, le détournant complètement de ses manuels scolaires. Je ne peux m’empêcher de le détailler du regard, bien que je connaisse parfaitement les contours de son visage.


Dernière édition par Yoon Dae Jung le Mar 12 Juin - 17:30, édité 1 fois
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Yoon Hyo
Yoon Hyo
Matières : Économie- Marketing et communication
Messages : 709

[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Mar 5 Juin - 16:15

Deuxième journée de cette nouvelle année. Bien que je sois arrivé il y a près d'une semaine pour placer ma chambre que je pensais avoir à moi, c'est avéré avoir un autre occupant. Mes pensées ce son aussitôt rendu à mon frère, il devra.. Non, on devra se cacher pour s'amuser comme il aime dire. Trêve de rêverie, j'ai des cours moi. Marketing 3, Communication 2, Anglais 3 et Karaté. Je finissais toujours ma journée par le sport sinon je serais beaucoup trop épuiser pour le reste des cours et dormir pendant c'était inamissible.

Ma journée avait finis tranquillement, des idiots m'avait encore pris pour la cible de leur coup mais j'étais rendu habituer. Ce qui une fois de plus, me fis perdre le cap et pensé à mon jumeau, qui je n'avais pas vu depuis longtemps, il me manquait, mais il devait être avec ces gens peu fréquentables qui ont des choses illégal à régler, je m'attendais à recevoir un coup de téléphone chaque minutes de ma vie. J'aimerais bien quand même avoir des nouvelles, je ne peux pas être inquiet pour lui, je dois me concentrer sur mes travaux. Cette pensée me ramena sur terre, rendu dans ma chambre, je vidais mon sac, jetant mon linge de sport dans le panier prévu a cet effet et alla me changer avec de quoi plus confortable.

Plusieurs minutes après, une collation rapide, je me remettais au boulot. Des devoirs, des leçons à apprendre et un texte à lire et comprendre et ce en anglais, les autres matières venaient après. Regardant que tout était en place que rien ne manquait à mon calme pour activer ma concentration je prends ma place à mon bureau et ouvrit mes livres. À peine rendue au quart de mon texte que j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, j'ai dû cette fois oublier de la fermer et puis ça devait être mon partenaire de chambre qui revenait de sa journée, alors je ne bougeais pas toujours concentré, jusqu'à ce qu'une masse vienne appuyer sur le dossier de ma chaise et une ombre apparaître sur mon livre.

• « Encore le nez dans tes bouquins ? T’as vraiment qu’ça à faire ? »

Mon frère, moi qui un peu plutôt voulait le voir j'espérais que ce ne soit pas maintenant, pas lorsque j'étudie. Il le sait pourtant que je n'aime pas être dérangé dans ces moments-là, pour seule réponse il n'eut qu'un grognement de ma part. Je n'allais quand même pas le virer, je ne le pouvais pas. J'ai su que j'étais fini lorsque mon corps ce mit à réagir à son souffle chaud sur ma peau, mes yeux se fermant lorsqu'il se mit à me mordiller l'oreille. J'essayais de me concentrer mais c'était peine perdue, il avait une fois de plus gagné sur moi, il me demandait que deux petites minutes, mais je savais que ça ne serait pas que deux petites minutes.

• « Ce n'est jamais que deux petites minutes avec toi. »

Je voulais résister, je devais résister, mais lorsque ses mains se posa sur mes épaules pour me faire ce qui savait être ma perte, je ne pouvais plus rien, je lâchais mon crayon et soupira de bien-être. Il me trouva tendu, Rien de plus normal avec la vie que je menais, lui qui est je ne sais où et les gars qui le détestent qui me rend des comptes en plus des études.

• « Tendu, rien de plus normal. Où étais-tu c'est dernier temps ? Aucune nouvelle rien. Alors, te surprend pas que je le sois. »

Je savais qu'il n'aimait pas que je le sermonne, surtout dans ces moments-là, mais c'était la seule façon que j'avais trouvé pour ne pas trop sombrer dans ce sentiment de plénitude que je ressentais envers lui. Ma carapace en quelques sortes. Le massage eu raison de moi et je me lâchais totalement cette fois, il put même me retourner face à lui, il n'avait pas changé toujours aussi mauvais garçons même dans son linge. Mes lunettes étant de trop je les enlevais et me contorsionnait pour les déposer sur mon bureau ce qui me fit le lâche des yeux quelques secondes. Ce qui pour moi était de trop en ce moment, car je n'avais qu'une envie, le regarder d'un peu plus prêt.

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Yoon Dae Jung
Yoon Dae Jung
Matières : Economie
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Jeu 7 Juin - 16:28

• « Tendu, rien de plus normal. Où étais-tu ces derniers temps ? Aucune nouvelle, rien. Alors, te surprends pas que je le sois. »

Qu’est-ce qu’il peut bien m’énerver lorsqu’il fait ça ! C’est vrai. Ca fait quelques jours, même pas une petite semaine et il va m’en chier une pendule ! Je l’avoue, j’aurai pu répondre à tous ses messages, mais j’avais un peu fais tout et n’importe quoi ces derniers temps et je ne voulais pas qu’il me démasque surtout si j’avais été dans un piteux état. Il en aurait fait une crise. J’exagère un peu avec lui, mais j’en viens à agir ainsi pour qu’il se défasse de cette image agaçante de frère qui surveille les moindres faits et gestes de son petit frère. Au lieu de passer son temps à bosser, il ferait mieux d’agir un peu comme moi, au moins, il saurait parfaitement là où je me trouve et ce que je fais. C’est totalement égoïste de penser de cette manière, mais je ne me vois pas me transformer si soudainement en un élève modèle et puis l’école, ça n’a jamais été fait pour moi et c’est bien prouvé depuis des années maintenant. Mais je n’ai pas tellement le choix si je suis ici, c’est grâce à Hyo.

• « Quelques petites choses à faire, mais ne t’en fais pas, c’est rien d’important. La preuve, je suis en un seul morceau ! »

Je lui montre l’un de ces sourires tendres qui le fait fondre en un claquement de doigts. J’abuse de la situation. Je ne devrais pas, mais je ne parviens pas à ne pas céder à cette pulsion enfouît si profondément en moi. Il est tellement tout pour moi que j’en accuse ma conscience de profiter de sa faiblesse pour l’avoir rien que pour moi. Je ne sais même pas comment je réagirais le jour où il viendra m’apporter la terrible nouvelle lorsqu’il aura trouvé quelqu’un. Je ne sais pas si je devrais me réjouir ou en mourir. Ce jour là, j’espère qu’il n’arrivera jamais. De plus, ça voudra dire qu’il s’éloignera une bonne fois pour toute de moi. Non. Je refuse.
Une soudaine moue boudeuse s’inscrit sur son visage. Il a l’air contrarié. A-t-il eu des ennuies durant mon absence ? Si une personne quelconque ose s’en prendre à lui, je lui fais immédiatement la tête au carré. Je le regarde, curieux. Il ne semble pas vouloir m’en parler de lui-même. Est-ce que je suis obligé d’agir d’une certaine manière pour qu’il m’avoue tout ?

• « Qu’est-ce qu’il y a Hyo ? Tu as un souci ? »

Je m’accroupis devant lui, légèrement entre ses jambes et ayant laissé mes bras en appuie sur ses jambes, j’attends impatiemment. J’attends qu’il me dise ce qui le tracasse jusqu’à en faire cette tête. Je veux absolument tout savoir. Le connaissant, je ne vais pas le lâcher avant un bon moment.

• « Tu sais que tu peux tout m’dire, hein. »

Je prends sa main dans la mienne avant de l’apporter auprès de mon visage pour y déposer un doux baiser sur le dos de celle-ci. Puis, je le regarde de nouveau. Intensément, en essayant de décrypter une information qui pourrait m’indiquer sur la voie de son problème. Cependant, je connais une bonne façon pour qu’il m’avoue ce qu’il a tant sur le cœur.

• « Ne m’oblige pas à te faire du charme pour que tu m’en parles ! J’peux pas me permettre. Pas ici. »

Je laisse quelques minutes s’écouler, tout en espérant de ne pas agir de la façon que je pense au risque de se faire remarquer par quelqu’un qui traînerait dans le coin.
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Yoon Hyo
Yoon Hyo
Matières : Économie- Marketing et communication
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Jeu 7 Juin - 17:58

Le temps de me retourner et je savais que mes mots venaient de le toucher plus que de raisons. Je le voyais dans tes yeux que tu étais agacer mais j'étais ton frère le plus vieux, c'était mon travail de veiller sur toi et puis ce sentiment que je ressens face à toi, il me fallait le taire d'une manière ou d'une autre. Nos parents avaient raison ce n'était pas normal qu'on soit toujours ensemble ainsi, mais bon sang que ta présence m'était rendu nécessaire.

Quelque petite affaire à faire, non, mais il se fout de moi. Je sais ce qu'il fait j'en ai conscience et je ne l'accepte pas. Ce n'est pas une vie et ça me procure plus de stress que de raison. Mais je ne peux rien faire avec ça, rien à part t'accueillir lorsque tu reviens, je sais que tu vas finir par abandonner cette vie et je serais là à attendre ta venu avec le même sourire que tu me fais en ce moment. Mais cette fois je ne peux y répondre, trop de choses me tracasse et mon dos me fait souffrir, oui, les personnes que tu as "aider" ont volé a certaine personne et t'ont reconnu. Qui a payé le "remboursement" comme ils disent, moi. Mais jamais je ne te le dirais, ça ne te regarde pas.

• « Qu'est-ce qu'il y a Hyo ? Tu as un souci ? »

Bien sûr que j'ai un souci, mais je ne pourrais jamais te dire ce qui m'arrive, je ne veux pas que tu ailles encore plus de problèmes pas crée par moi. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose et puis j'ai pris karaté, je serais me défendre maintenant. Non, ma décision est prise je ne te dirais rien. Certes, je peux tout te dire et je te dis tout, mais me demande pas ça, je t'en pris ne me fait pas plier. Voilà, ce que je pense à l'intérieur de moi, mais je sais que c'est inutile face à une tête dure comme la tienne, comme la nôtre. J'avais raison, je l'ai su au moment où tu as pris ma main, j'étais fini tu vas réussir à me faire dire tout ce que tu veux, pourquoi faut-il que tu saches parfaitement comment me faire plier. De plus, tu te mets entre mes jambes, tu veux ma mort, je ne pourrais te résister longtemps, mais je vais le faire.

• « Ne m'oblige pas à te faire du charme pour que tu m'en parle ! J'peux pas me permettre. Pas ici. »

Mais je sais que tu ne peux pas, pour ça que je suis certain de remporter cette manche, c'était sans compter les nombreux souvenir qui me remontait sans cesse au cerveau. Un brassage de tête et je redeviens lucide, je ne devais pas me faire avoir, cette fois j'avais l'avantage de la situation et toi non.

- Je ne dirais rien. N'espère pas. Tout va pour le mieux.

Au moment que ma phrase se termine j'entends mon portable vibre, la chance me sourit encore, je me dépêche de me lever de ma chaise et d'aller répondre. C'était elle, elle annulait pour le travail ce soir, elle se devait de bosser, je parlais avec elle plusieurs minutes oubliant presque la présence de mon frère, elle réussit même à me faire rire. Ce qui était une bonne chose puisque mon visage quelques secondes avant était très sérieux. Je raccrochais perdu dans mes pensées, elle était vraiment quelque chose, puis je me levais voulant continuer de travailler, mais te vis et compris que nous deux ce n'était pas terminé la discussion. Si vraiment discussion y allait avoir, vu que je parlais à quelqu'un d'autre devant toi et que je te connaissais jaloux.

Écoute ce n'étais qu'une amie.. Ne vas pas crier où je ne sais quoi..

Pourquoi je me justifiais, je ne savais pas, mais je n'aimais pas ton visage à l'instant. Toi et tes crises de jalousie intensive. Pitié, pas aujourd'hui.




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Yoon Dae Jung
Yoon Dae Jung
Matières : Economie
Messages : 64

[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Lun 11 Juin - 15:50

• « Je ne dirais rien. N’espère pas. Tout va pour le mieux. »

Tu m’esquives, tu fraies l’ignorance et ça me brise le cœur comme tu ne l’as jamais fais. Je me sens tellement mal lorsqu’il agit de cette manière. C’est comme si je devenais un bête inconnu à son égard alors que nous sommes des frères. Des jumeaux. Même bien plus. Lorsqu’il opte pour cette attitude, j’ai affreusement envie de le frapper. Ca m’énerve qu’il puisse se confier à quelqu’un d’autre que moi, qu’il aille parler à quelqu’un d’autre, qu’il regarde quelqu’un d’autre. Rien qu’à penser qu’une autre personne puisse lui sourire, je sens mon estomac se tordre dans tous les sens et une certaine angoisse s’empare de moi. Aussitôt, j’ai envie de lui montrer que je suis là, en face de lui et qu’aucun autre inconnu ne se mettra entre nous. Au même instant où je souhaitais lui démontrer certaines choses, la sonnerie de son téléphone portable m’interrompt et il en profite pour s’enfuir d’entre mes bras et de répondre à son appel. Je laisse un discret grognement s’échapper d’entre mes lèvres lorsqu’il s’est assez éloigné de moi et dans l’incapacité de m’entendre ronchonner dans mon coin. Je jette un rapide regard vers lui avant de me relever en soupirant et de prendre place sur la chaise où il était assit quelques temps auparavant. Je n’entends rien et Hyo répond que brièvement. Je me demande qui peut bien lui passer un coup de fil et en y repensant, c’est assez insensé puisqu’il est toujours fourré dans sa chambre pour étudier. En attendant qu’il termine sa conversation, j’examine un peu sur quel sujet il était penché avant que je ne cesse son activité. En lisant plutôt vaguement son écriture, je n’y comprends pratiquement rien. Je n’ai jamais été studieux et, d’ailleurs, je n’ai jamais cherché à comprendre quelque chose à tout ce charabia. Un léger bruit de clapet qui se referme, je tourne la tête vers Hyo et m’aperçois qu’il a enfin terminé sa petite discussion privée.

• « Ecoute, ce n’était qu’une amie… Ne va pas crier ou je ne sais quoi… »

J’arque un sourcil assez stupéfait de ce qu’il m’annonce. Moi ? Être de si mauvaise foi ? C’est nouveau, ça vient de sortir et je n’étais même pas au courant. C’est ça, hein ? Pour quoi je passe, franchement. Il s’invente des scénarios, ce n’est pas possible ! Et puis, il a beau me balancer ce genre de choses en plein visage, c’est toujours moi qui tient les rennes entre nous deux et si je viens à m’énerver lorsqu’il s’éloigne de moi, c’est uniquement pour le protéger. Les gens de nos jours sont tellement étranges et bourrés d’idées plus tordues les unes que les autres pour faire souffrir quelqu’un que je me méfie de n’importe qui. J’ai beau penser tout ceci, mais je suis très mal placé. Je suis le premier à traîner avec des types plus étranges les uns que les autres. Bordel, Hyo… Qu’est-ce que tu as a, à m’en vouloir autant ? Tu sais très bien que ce n’est pas de ma faute si je suis devenu comme ça. Tu devrais m’aider à me libérer de certaines lianes qui m’attachent si fortement contre un rocher et qui m’engouffre de plus-en-plus dans un trou tout en m’éloignant de toi. Seulement, est-ce que tu le comprends ? Est-ce que tu me comprends comme nous nous comprenions lorsque nous étions plus jeunes ? Je finis par esquisser un léger sourire au coin de mes lèvres quelque peu perplexe. Je le fixe quelques instants avant de marmonner quelque chose comme pour esquiver une certaine réflexion de ta part qui pourrait me vexer et que je ne supporterais pas puisque ça vient de toi.

• « Pourquoi tu te justifies ? Je ne suis pas ton bourreau, je ne te séquestre pas. Fais-ce que tu veux de ta vie, t’en as le droit. »

Des excuses. Toujours des excuses. À son égard, j’ai l’impression que n’avoir que ça dans la bouche. J’ai tellement peur de lui faire beaucoup de mal, plus que ce que je ne lui fais subir déjà. Je me lève de sa chaise et m’approche de lui avec le regard intensément posé sur lui. Sur son corps. Sur son visage. J’en viens à être envoûté comme si je me retrouvais posséder. Je colle mon torse contre le sien et approche mon visage dangereusement de ses lèvres, mais je bifurque au dernier moment et dépose un doux baiser sur sa joue. Puis, je décide de tracer un chemin de celle-ci jusqu’à sa bouche afin de prendre possession de ses lèvres si douces que je n’ai pas pu toucher, effleurer, goûter depuis tant de temps. Nos lèvres se rencontrent. Ma langue se fait plus taquine et vient lécher sensuellement ses deux morceaux de croissants avant de mordiller doucement sa lèvre inférieure insistant pour qu’il m’offre un échange plus langoureux. Ma demande semble quelque peu le troubler. Pourquoi ? Est-ce qu’il ne souhaite plus m’embrasser si passionnément ? Est-ce qu’il me refuse à présent ? Jamais, je ne le supporterais. Jamais. Je m’accroche à sa taille en laissant mes bras se glisser autour de ses hanches et le rapprocher de moi. Finalement, sa langue vient rencontrer la mienne et un échange endiablé commence à faire son apparition. Je sens mon corps se réchauffer. Je sens mes sens se troubler. Je perds totalement le contrôle de moi-même. Mes mains se font plus taquines et se faufile avec délicatesse en-dessous de son tee-shirt. L’une d’elles se plaquent au creux du bas de son dos tandis que l’autre ne cesse d’effleurer, caresser tout le long de sa colonne vertébrale. Durant notre échange buccal, je parviens à activer une douce marche pour ainsi le faire butter contre un des lits de la chambre afin que celui-ci se retrouve assit, nous coupant à la fois dans notre baiser. Sans un mot, je pose ma main sur son épaule et le pousse doucement en arrière pour qu’il s’allonge et que je m’installe à quatre pattes au-dessus de lui. Mes genoux se posent de chaque côté de ses jambes tandis que mes mains sont en appuies de chaque côté de sa tête. J’approche mon visage du sien et commence à déposer de multiples baisers du coin de sa lèvre jusqu’à son oreille pour y torturer doucement son cartilage de mes dents avant de m’attaquer à son lobe et glisser, de nouveau, mes lèvres jusqu’à son cou. Ma langue, mes dents, ma langue, suçotent sa peau. La mordille. La lèche. Je sens ma température corporelle augmenter de plus-en-plus tout en sentant ma respiration se faire trop courte. Mais il me rend fou et soupirer de cette façon ne m’aide vraiment pas. Je me redresse un instant et examine de près son visage avant d’attirer son regard. Je me sens essouffler et ses yeux m’en disent beaucoup.

• « Si tu veux m’arrêter c’est maintenant. Je ne le pourrais pas après… » Lui-dis dans un doux murmure.
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Yoon Hyo
Yoon Hyo
Matières : Économie- Marketing et communication
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Lun 11 Juin - 23:32

Je savais que ça ne lui avait pas plu que je dis ça, me justifier, mais je savais aussi que ça lui plaisait encore moins qu'une autre personne entre dans ma vie et prend de la place. Ce que cette jeune fille de l'autre côté du téléphone prenait de plus en plus dans ma vie.

Pourquoi tu te justifies ? Je ne suis pas ton bourreau, je ne te séquestre pas. Fais-ce que tu veux de ta vie, t'en as le droit

Bien sûr faire ce que je veux. Au moment où je le fais tu me pique une crise et ce à chaque fois que je fais comme je le veux. Une fille, un mec des amis qui me sortent, quelqu'un qui se rapproche, toujours le même scénario. Je sais que tu me dis cette phrase pour me soulager, pour ne pas me faire stresser encore plus, une simple excuse comme ce que je fais envers toi. Au moment, où j'allais parler pour enlever cette apesanteur que je ressens, je te vois te lever, tu t'approches dangereusement de moi. Si dangereusement que je sais ce que tu vas faire, c'est comme avant, tu te colles à moi. Le torse pour commencer, tes muscle sur les miens, ma tête tourne déjà voyant tes lèvres approcher, je ne bouge pas, mais reste un peu déçu lorsque tu bifurques au moment où je sentais ton souffle sur mes lèvres. Mes désirs sont exaucé lorsque finalement après un arrêt sur ma joue, je les sens sur ma bouche, si chaude et sucrée comme dans mes souvenirs.

Tout d'un coup je reviens à la réalité, tu es mon jumeau, ont ne peux faire ce qu'on s'apprête à faire, pourquoi ai-je rejoins cette école, une autre excuse que de te surveiller, je le voulais cet échange moi aussi. Je reviens à toi lorsque de mes hanches je sens un étau former par tes bras, j'entrouvre mes lèvres et viens chercher ta langue avec la mienne, je me laisse complètement aller, prenant le côté de ta tête dans ma main et le haut de ton dos de l'autre. Ma main dans ton dos commence à tirer légèrement ton chandail comme s'il était de trop sur ton corps, je le lâche avant de le déchirer aimant vraiment celui que tu portes en ce moment puisqu'il vient de moi. Un soupir d'aise passe la barrière de nos bouches, ta main sur ma peau l'hérisse de plus en plus me procurant toute sorte de frissons.

Je te sens me pousser vers le lit et sans résister je recule vers celui-ci, je me laisse même tomber dessus quand mes genoux rencontrent le bois. Nos bouches, nos corps sont finalement séparées, mes poumons reprennent leur air, ma respiration trop rapide me fait perdre la tête, mais je ne te lâche pas des yeux, me mordant la lèvre, une de mes mains tire sur ton pantalon, te pressant de reprendre ta place et vite. La tienne me pousse, sans vraiment te lâcher je me glisse sur le dos, prenant toute la place sur le lit, toi sur moi a genoux. Je sens mon corps en redemander, ma bouche fermée, je n'arrive pas à te le dire. Te voyant approcher comme une réponse à mes pensées, je penche ma tête de côté te laissant libre accès à toute idée de torture que tu puisses me faire subir. Ma respiration ce fait encore plus rapide, mes mains agrippant la peau découverte de tes côtes et ma gorge gémissant chaque fois que ta bouche, tes dents ou ta langue me touche.

Mon corps en veut plus, maintenant ne pouvant plus attendre, je le sens répondre a toute caresse. Mes vêtements sont de trop. Trop étroits, trop chaud, je n'en peux vraiment plus. Lorsque tu te lèves je sais que tu le vois, je ne comprends pas pourquoi tu hésites, ce que je sais que tu fais.

Si tu veux m'arrêter c'est maintenant. Je ne le pourrais pas après...

T'arrêter tu es fous, jamais je ne le pourrais pas au point où nous sommes rendus. Pour toute réponse, je te retire ton chandail, m'appuie sur mes coudes pour me lever et retire le mien qui va rejoindre le tiens au sol. Mes yeux fixant les tiens je te souris attendant ta réponse à ce geste. Mes mains devenue impatiente frôle tes muscle et ta peau devenue si chaude que je me mords encore plus la lèvre d'envie commençant déjà à bouger sous toi. Trop perturbé par mon envie, je me levais un peu plus, me collant à ton ventre. Je me mis a respirer ton odeur laissant mon souffle caresser ta peau, mes dents la pincer, mes lèvres l'embrasser descendant mon chemin un peu plus chaque fois, me retrouvant à la limite du dernier morceaux de vêtements recouvrant ton corps. Ma tête relever vers toi, j'attendais la permission pour continuer, connaissant déjà la nature de cette réponse mais étant un peu comme toi hésitant. Mes mains plus avide de te redécouvrir, remonte le long de tes jambes serrant tes fesses enter elle sans arrêt le massant, puis vienne au devant découvrir la bosse qui déforme ton pantalon. Tout doucement au début attendant toujours une réponse.

C'est de ça que tu voulais te passer en arrêtant. dis-je en manquant a nouveau d'air dans les poumons par trop de désirs.


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Yoon Dae Jung
Yoon Dae Jung
Matières : Economie
Messages : 64

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Mar 12 Juin - 17:29

Les silences en disent long et celui-ci est accrochant. Il m’hypnotise dans une tourmente infernale. Celle d’aimer, d’adorer, de câliner mon autre moi-même. Ses mains s’agrippent à mon tee-shirt pour mieux le retirer. Ce geste retransmet parfaitement sa réponse. Il ne veut pas que cette passion cesse, que notre idylle si particulière touche à sa fin. Il m’attire un peu plus dans le gouffre que nous nous sommes construit petit-à-petit depuis de nombreuses années. Je me repousse légèrement en m’installant sur mes genoux tout en restant au-dessus de lui. Par moment, je m’amuse à m’asseoir sur son bassin et à frôler son entrejambe pour le faire réagir. Il finit par se redresser à l’aide de ses avant-bras pour ensuite retirer son maillot à son tour. J’esquisse un sourire ravi qu’il me fasse comprendre à quel point il me veut. À quel point, il me désire, mais aussi à quel point, il est attaché à moi. Nos regards se croisent et se lâchent plus. Ses mains caressent mon torse du bout de ses doigts. Je sens un long frisson s’emparer violemment de mon être. Ce contact si affolant que je n’avais pas rencontré depuis trop longtemps à mon goût, me fait perdre pied. Trop emporté par le plaisir de se rapprocher un peu plus, il s’empreigne de mon odeur en respirant fortement au creux de mon cou. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main dans ses cheveux noirs et de les empoigner doucement, puis de plus-en-plus fort lorsque ses mains deviennent plus taquines en venant cajoler mes jambes, mes fesses puis mon entrejambe qui commence à gonfler malgré qu’il soit masqué derrière mon pantalon.

• « C’est de ça que tu voulais te passer en arrêtant ? »

Ses yeux se voilent d’envie. De désir et je fonds complètement entre ses bras. Mes mains se posent doucement sur chacune de ses joues pendant que mes pouces caressent tendrement sa peau si douce. Mes yeux n’arrêtent pas de le fixer intensément. Mes iris parcourent en long, en large, les expressions de son visage que je connais que trop parfaitement. Par cœur parce qu’il est moi, parce qu’il est mon frère, parce qu’il m’appartient de toutes les façons possibles et inimaginables. Je me rends malade à l’idée de ne plus pouvoir le toucher de cette manière. J’ai tellement peur de ne plus pouvoir le prendre dans mes bras. J’ai juste la trouille qu’il m’échappe et qu’il ne soit plus le mien.

• « Tu parles trop… » Lui dis-je avec une attitude amusé avant de rapprocher une nouvelle fois mon visage du sien pour l’embrasser passionnément.

Sa langue rejoint aussitôt la mienne. C’était comme si elles ne s’étaient jamais rencontrées. C’était comme si elles n’étaient que des inconnus. Pourtant… Mes mains se laissent retomber le long de son cou jusqu’à ses épaules puis sur son torse. Je redessine les contours de son corps si parfait, si bien entretenu avant que mes doigts vinrent s’amuser à titiller, torturer doucement ses petites billes de chairs déjà bien tendus grâce à l’excitation que je lui procure. J’en viens à mordiller doucement sa lèvre inférieure et à repousser mon frère en arrière afin que nous nous retrouvions, à nouveau, allongés. Là, je laisse mes mains se faufiler jusqu’au bas de son ventre pour y laisser quelques caresses avant de se pencher plus sérieusement pour déboutonner son pantalon. L’une de mes mains se fait plus curieuse, plus taquine et traverse sans difficulté les deux vêtements recouvrant cette partie si secrète afin d’empoigner fermement son membre et y commencer des mouvements de vas et de vient incessants. Mes lèvres cessent de l’embrasser et se fondent dans son cou tout en suçotant sa peau et en profiter pour y laisser quelques traces violacées causés par des suçons. Ses soupirs mêlés à des gémissements plaintifs me rendent complètement fou. Je deviens incontrôlable au point de retirer ma main de l’intérieur de son boxer. Un grognement de frustration que je ne me préoccupe pas et je me redresse tout en abandonnant toute attention à son égard. Je me relève et me faufile entre ses jambes et en profite pour se retrouver à nu sous mon poids. Je jette ses vêtements à travers la pièce et ma bouche vient rapidement déposer de multiples baisers sur sa poitrine allant jusqu’à suçoter l’un de ses tétons. Mes mains se planquent contre ses hanches afin d’éviter tout mouvements de bassins trop brusques de sa part tandis que ma bouche s’abaisse jusqu’à son bas-ventre. De plus-en-plus, je me laisse descendre le long de son corps pour me retrouver à mordiller doucement la peau de ses cuisses et remonter le long de l’une d’elle. Je m’éloigne très peu de l’objet interdit avant d’en venir suçoter le bout et jouer en donnant quelques coups de langue tandis que ma main empoigne fermement la base. Je relève mon regard et aperçoit son visage se tordre doucement de plaisir. Sans même le prévenir, j’englobe totalement son membre en bouche.
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Yoon Hyo
Yoon Hyo
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Mar 12 Juin - 18:32

Pour une fois que j'arrivais à avoir un peu le dessus sur toi, tu décides de me recoucher, j'allais me plaindre, mais tes mains parcourant mon corps m'en empêchèrent. Ta bouche retrouvant la mienne et moi d'y répondre comme à notre première fois. En extase je me retrouve une nouvelle fois coucher sous toi, subissant une douce torture qui ne fait que me faire gémir de plus en plus sous tes mains expertes. Je sens à peine mon pantalon se déboutonner, mais me cambre aussitôt lorsque ta main retrouve mon intimité et commence à jouer avec lui. Je n'en peux déjà plus, je perds toute notion de temps, tout ce qu'il y a d'important en ce moment c'est nous deux. Mes mains encore amovibles, te cherche, mais ne te trouve plus, je relève un peu la tête et te vois balancer mes vêtements, quand les as-tu enlever ? Je ne comprends rien et je m'en fiche lorsque je te retrouve, t'enlace sans t'empêcher de bouger, suivant ta tête de ma main parcourant le chemin de mon corps. Mon corps, il veut bouger, mais tu m'en empêches, je sens ta bouche descendre et je ne peux m'arrêter de râler et de gémir, je grogne même sachant la suite, mais la trouvant trop longue à mon goût. Mon visage ce tort du plaisir convoiter et encore plus lorsque je te sens me prendre en bouche et ce d'un seul coup, j'aimerais suivre le spasme électrique qui me parcoure et me cambrer, mais tu m'en empêches une fois de plus, je ne peux rien faire que te prendre les cheveux et les tirer selon mon désir. Mes mains suivent le mouvement de ta tête même que parfois insiste un peu malgré moi sur toi, mon souffle de plus en plus cours, presque inexistant, ma bouche ne gémissant plus par manque d'air, quelques coups encore de ta langue et tes lèvres me serrant je me sentais partir.

Pas.. pas comme ça... dis-je manqueant sérieusement d'air.

Je ne voulais pas, pas maintenant, mes mains tirèrent sur tes cheveux pour te faire remonter à moi. Le gars calme et sérieux était partie là, je ne voulais qu'une chose, avoir le dessus sur toi et t'entendre crier comme moi je venais de le faire. Te voilà à ma hauteur, un coup de hanches sur le côté et je réussis à te renverser, essouffler, mais enragé d'excitation je fondis sur ta bouche, la dévorant et le mordillant du bout de mes dents. Ton oreille subit le même traitements, ton coup devenu bleu par mes soins, tes mamelons devenu pointu par ma langue qui jouait avec. Tes côtes que je mords te sentant te tortiller à chaque fois et ton ventre, je m'arrête à ton nombril jouant de ma langue tandis que mes mains ouvraient ton pantalon et le fit s'abaisser avec le dernier morceaux qui me gêne. Tes vêtements, se retrouve au sol avec les miens, je me relève et t'observe avec mes yeux voiler de désir pour toi, les doigts qui se baladent sur tes jambes frôlant ton membre à chaque occasion mais n'y touchant aucunement.

Je te vis perdre patience comme moi un peu plutôt, mais n'y fait pas gaffe et continue ma torture, mes mains qui remonte sur ton torse pour redescendre et effleurer ton gland, mon sourire qui s’élargit. Puis, n'en pouvant plus, je fondis sur toi, de légers baisers le long de ta verge, parsemé de coup de langue. Tes râles enfin audible, je te pris en bouche, mais tranquillement, centimètre par centimètre voulant allonger ton plaisir. Descendant d'un centimètre pour remonter suçoter le bout de ton membre et recommencer mon manège, ma langue en plus qui donne quelques coups et mes mains qui se baladent sur ta peau là ou je pouvais l'atteindre.

Puis d'un coup, je m'arrête, par manque d'air, mais surtout, car je sentais ton membre se gonfler un peu trop connaissant aussi bien ta limite que la mienne, je ne voulais pas tout gâcher et ton grognement insatisfait ne change rien au sourie qui est imprégné sur mon visage connaissant cette petite victoire sur toi. Un rire s'échappa de ma bouche que je cache aussitôt de ma main, ne voulant pas t'offenser.
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Yoon Dae Jung
Yoon Dae Jung
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Mer 13 Juin - 1:26

Mon être, mes âmes tout entières ne m’appartiennent plus. Le seul son qui parvient à s’introduire en travers mes oreilles et réussir à maintenir mon cerveau en éveil sont ses gémissements et ses soupires. Installé étroitement entre ses jambes, je continue à savourer l’objet des désirs tout en dégustant par de simples caresses sa peau si pâles et pourtant si savoureuses. Elle est parfaitement réchauffée par cette incroyable chaleur qui nous envahit à chaque main posée plus curieusement. Je sens ses doigts serrer fortement mes cheveux parvenant ainsi à me faire comprendre qu’il aime ce que je lui procure. J’ai beau continuer de jouer avec ma langue, son sexe ne cesse de s’agrandir entre mes lèvres. Cependant, je n’ai pas le temps de lui montrer un certain brouillard d’extase qu’il m’indique de remonter vers son visage. Je grimace en sentant mes cheveux se faire maltraiter de la sorte, mais surtout par la douleur qui m’est infligé en tirant dessus de la sorte. Je laisse un grognement se faire entendre en même temps que le sien, sûrement dut au fait que j’ai arrêté tout mouvement au niveau de son bas-ventre. J’esquisse un sourire amusé avant de retrouver ses lèvres et de partager un baiser plus passionné que les précédents. Seulement, je ne m’attendais pas à me retrouver aussi faible en me laissant surplomber grâce à un coup de hanche de sa part. J’ai toujours profondément détesté me retrouver dans cette position de soumis, mais il faut l’avouer que face à Hyo et dans ce genre de situation, je ne suis pas aussi fort qu’il peut l’être. Ce n’est pas non plus une question de physique ayant une musculature entretenue ou non, c’est juste qu’il s’est toujours montré supérieur dans ce genre de situation. Il faut dire qu’il est très doué pour prouver à quel point il tient à la personne qui se retrouve face à lui. À mes souvenirs, il a le « je t’aime » assez facile. Lorsque nos lèvres se quittent pour la énième fois, ma respiration se trouve pesante et affreusement courte. J’ai l’impression de suffoquer. De crever en-dessous de lui. Ses lèvres s’éloignent pour me torturer. Mes oreilles, mon cou, mon torse, rien ne lui échappe et je sens de profonds frissonnements prendre entièrement possession de mon échine. J’en suis totalement troublé. Puis, je sens sa bouche m’affliger une douce torture, exactement la même que celle que je lui ai procuré quelques minutes auparavant. Je n’ai même pas fais attention à mes vêtements qui m’ont quittés. Je déteste lorsqu’il me met à nu, surtout dans cette position. Je n’ai jamais eu l’habitude d’être sous le poids d’un autre corps. Pourtant, en sa compagnie, je suis habitué. Il m’a toujours fais ça. Il m’a toujours fais tout connaître.

Mes mains s’égarent dans sa chevelure. Je serre quelques mèches entre mes mains face au plaisir qu’il me donne. C’est si simple, mais tellement délicieux. Je me mords nerveusement la lèvre afin de ne pas me lâcher dans sa bouche si exquise, si experte. Par réflexe, je ferme les yeux et entrouvre les lèvres. J’espère sûrement récupérer un peu plus d’oxygène malgré que je sache que cela ne sert strictement à rien. Ma tête se renverse en arrière et je ne peux m’empêcher de me sentir aussi bien sous ses étreintes. J’ai beau protester que toutes ces sensations me conviennent et être à deux de me lâcher, je laisse un râlement se faire entendre lorsque Hyo cesse toute attention envers moi et ne pouvant me permettre de connaître, plutôt reconnaître, un certain paradis. Mon frère se redresse et j’aperçois un sourire inscrit sur son visage, vainqueur. Je le hais ! Il sait que le seul instant où il a le contrôle sur moi, c’est celui-là. Il cache son rire derrière sa main et je laisse ma main frapper gentiment son épaule afin de lui faire comprendre que j’en suis mécontent. Par la suite, je fais une légère moue boudeuse plutôt attendrissante qu’autre chose, mais je ne peux réellement lui en vouloir et je finis par lui sourire à mon tour. Je finis par le regarder intensément dans les yeux.

• « J’te hais quand tu fais ça, tu l’sais en plus ! »

J’enroule ses hanches avec mes jambes et colle nos bassins tout en frôlant nos virilités bien plus que tendus. Je laisse un soupire de bien-être sortir du plus profond de ma gorge et traverser discrètement la barrière de mes lèvres. Mes bras encerclent sa nuque et je me redresse légèrement afin de déposer un baiser au coin de sa bouche. Puis, je me détache et lui sourit à nouveau. C’est assez étrange devenir aussi sage qu’une image, mais au moins, je n’ai pas à avoir honte de mon attitude envers lui. C’est bien le seul à qui je peux totalement monter ma véritable personnalité.

• « Hyo… » Murmurais-je alors que nos lèvres s’effleuraient légèrement.

• « Tu sais quoi faire… Je suppose. » Rajoutais-je avant de l’embrasser plus fougueusement tandis que je sentais son membre s’introduire en moi.

À peine était-il en moi que ma respiration me trahissait. Ma gorge se nouait et l’air ainsi que ma salive me manque atrocement au point d’en vouloir faire cracher mes poumons. Ses mouvements de reins percutant le plus profond de mon être me rend complètement fou au point de me faire tout oublier et m’enveloppe dans une bulle. Dans notre bulle.
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Yoon Hyo
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Jeu 14 Juin - 1:20

• « J’te hais quand tu fais ça, tu l’sais en plus ! »

Oh oui, je le savais, mais c'était tellement bon, voir dans sa figure que pour une fois, un être sur terre avait de l'emprise sur lui et lui faisait faire tout ce qu'il voulait. Je reçus ton coup sur l'épaule avec joie, signe que j'avais encore gagné sur toi, signe que tu étais heureux ce que je voulais par-dessus tout. Je sens tes jambes bouger et s'enrouler autour de mes hanches, ton corps se soulever, nos membre durci d'envie se coller, un grognement rauque m'échappa, je ferme les yeux sous le supplice de te sentir si proche de moi. Toujours les yeux fermer je sens tes lèvres déposer un baiser trop court à mon goût au coin de mes lèvres, un sourire à ce moment naquis sur mon visage et mes yeux s'ouvraient à nouveau. Je me perdis dans tes iris marron, ils sont tellement foncés comparer au mien que j'aime les regarder fasciné. Je ne te vis même pas te rapprocher une nouvelle fois, mais lorsque nos lèvres s'effleuraient et que mon nom sortis de ta bouche comme un supplice je sus quoi faire.

Tu venais de me poser la question, comme une réponse m'autorisant à aller plus vite, je te soulevais de sur moi, me plaçais et te rabaissais. Je me sens entré en toi, ton entré était si étroite, cela faisait combien de temps que je n'y étais pas entré, trop apparemment. Je fermais les yeux, ayant un peu mal, autant pour moi que pour toi qui n'étais pas préparé à me recevoir, mais je te voulais trop je n'ai pas pus m'empêcher de sauter cette étape. Entré complètement en toi, je perdis pied et je tombais sur toi, j'en profitais pour donner le premier coup de rein d'une longue ligné de coup qui augmentait en intensité. Chaque coup était un supplice d'une torture horriblement bonne, mon air et ma salive n'étaient plus obligatoire, je n'entendais même plus les bruits provenant du couloir des dortoirs, il n'y avait que toi et moi, nos gémissements plus sonores à chaque fois.

Un moment je sens ta paroi cogner contre mon gland et te sens serrer les jambes, je sus que c'était cet endroit que je devais continuer à frapper pour te faire monter dans une extase ultime, mais en bon joueur que j'étais je pouvais me contenir et calmer le jeu. Pas questions de finir maintenant, tu allais payer pour cet interruption dans mes études, je ralentissais mes mouvements de plus en plus, faisant en sorte de sortir presque la totalité de mon membre de toi ne laissant que le bout à l'intérieur pour te pénétrer d'un seul coup une nouvelle fois. Je fis ce manège plusieurs fois dans notre moment, en fait, chaque fois que je te sentais près de l'ultime moment.

En même temps que je m'amusais, ma bouche se mit à errer sur ton coup, allant mordre ton oreille et suçoter le lobe refaisant presque le même mouvement que mes hanches faisaient en toi. Ce jeu que je m'évertuais à faire devenait dur pour moi, je me sentais presque partir et je me mis à donner des coups plus "sauvage" que les précédents. Mes mains, elles qui n'avaient rien à faire que de te toucher, le faisait avec envie, jouant sur ta propre intimité, lui donnant des va et viens intense, mais d'une vitesse plus lente que mes hanches te donnant plusieurs rythme de sensation voulant te rendre fou d'excitation. Mes doigts serrèrent un moment pour desserrer le moment d'après. Je savais ce que cela faisait comme torture et je me délectais des bruits qui allaient sortir de ta gorge dans quelques secondes.

Cri.. Je sais que tu aimes, je veux entendre.

Je me préoccupais plus vraiment de l'endroit où nous nous trouvions sachant bien que les étudiants des dortoirs couchait ensemble à la moindre occasion, nous, nous ne faisions rien de méchant en tant que tel. Moi, pour ma peine, je me lâchait, si les autres entendais tant mieux pour eux, il se diront que je suis un homme après tout.
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Yoon Dae Jung
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[NC-16] « Do you wanna play with me ? » Vide
Dim 1 Juil - 16:09

Depuis combien de temps n’ai-je pas senti ses mains posées sur mon corps ? Depuis combien de temps ne l’ai-je pas tout simplement senti en moi de cette manière ? Tout cela semble avoir duré une éternité. J’ai toujours envié ces instants si intenses, si intimes, entre nous. Je me souviens encore lorsque nous étions plus jeune, lorsque tout cela n’existait pas. Nous avions apprit un nouveau jeu, celui du « touche-moi ! ». C’était une sorte de quête au trésor, seulement le trésor ne contenait pas de l’or. Non. C’était un endroit particulier qu’il fallait trouver sur le corps de l’autre et qui lui procure énormément de bien. Un endroit qui nous rend dépendant de l’autre. Au début, ce n’était que de simples caresses. De simples baisers volés à l’aveuglette, comme deux adolescents. C’était tellement innocent de notre part jusqu’à ce que nous grandissions et que nos corps désiraient beaucoup plus de choses de la part de l’autre. Les baisers ainsi que les caresses n’étaient plus de choses innocentes. Toutes ces petites attentions étaient même procurées uniquement dans le but de faire frémir son partenaire. De le rendre fou. De l’envoûter et de le faire sien sans un quelconque refus. La première fois que nous avons couchée ensemble, nous étions assez maladroits, mais ça devenait tellement adorable dans les yeux de Hyo qui prenait plaisir sous mes doigts, sous moi. J’ai toujours aimé voir cette expression de désir dans ses yeux et j’en étais devenu terriblement possessif. Mon frère. Mon unique raison de vivre, j’ai toujours refusé qu’il offre ce regard à quelqu’un d’autre que moi. Encore aujourd’hui, je suis prêt à tout lui donner, aussi bien mon corps que mon âme, afin qu’il ne m’oublie jamais. Mais surtout pour ne jamais cesser cette envie et ce délice qui nous rapproche de plus en plus.

Une fois son membre entièrement en mon être, je me torture la lèvre inférieure comme par réflexe. Cette sensation, cette petite chose à première vue si gênante m’avait quelque peu manqué. Cela semble être une torture, une réelle sentence pour me voir crever sous son poids, mais ce n’est pas le cas. Je sais que cette douleur cessera de me tordre intérieurement. Je sais aussi qu’il s’unit à moi pour m’aimer d’avantage. Ses mouvements de reins se font longs et puissants, au point que je ne peux m’empêcher de vouloir en gémir. Seulement, beaucoup trop fier de moi, je lui prive de ce plaisir vocal et je le sens se frustrer. La raison de penser ça, est tout simplement le fait qu’il s’insinue d’une manière bien particulière dans mon intimité. En effet, il s’amuse à faire des vas et vient, tout en profitant pour interrompre ce plaisir en sortant la totalité de son membre avant de s’y introduire plus violemment. Il me fait tourner la tête. Il me rend fou que j’en souhaite en mourir dans ses bras. Instinctivement, mes bras se relèvent et s’accrochent à l’oreiller en dessous de ma tête. Ces coups de buttoirs prennent totalement possession de ma raison et je le lui offre sans grande difficulté. Il me semble entre des paroles qui me sont destinées, mais un plaisir me submerge et je ne parviens plus à recadrer mon cerveau pour avoir les idées plus claires. Je suis entièrement emporté dans ce nuage de bonheur qui est l’amour. Oui. J’aime mon frère comme jamais un autre ne peut le faire !

Ma respiration saccadée et mon oxygène pratiquement inexistant me font perdre quelque peu la raison. J’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes, mais ce n’est seulement que le signe de mon extase qui approche. Ma tête se penche en arrière, mes lèvres s’entrouvrent et cherchent à trouver un peu plus d’air afin de me faire reprendre mes esprits, mais tout cela est sans espoir puisqu’il ne cesse de continuer en buttant profondément un endroit qui m’est particulièrement sensible. Je n’en peux plus. Ma gorge parvient à libérer quelques sons érotiques. Des gémissements plus rauques les uns que les autres, sûrement dû à mon manque atroce de salive. J’ai la gorge tellement asséchée, mais je sens un léger filet de bave s’enfuir au coin de mes lèvres. Mon unique espoir de retrouver un peu de mes sens s’échappe d’entre mes mains. Je sens mon membre se gonfler et je ressens une légère douleur à force de me retenir. Je ne parviens plus à me contrôler et dans un ultime coup de rein de sa part, je finis par me libérer entre nos deux ventres tandis que peu de temps après, une substance qui ne m’est pas étrangère semble avoir trouvé refuse entre mes cuisses. Cette chose me dégoûte, rien que d’y penser, j’ai envie de vomir. Ça me répugne et je sais que Hyo est au courant de ce que j’en pense. C’est sans doute ma punition pour l’avoir dérangé dans ses devoirs. Fourbe ! Je me vengerai un de ces jours !

En attendant, j’essaye d’oublier cette intrusion en caressant le dos de mon frère qui s’est allongé contre moi. Je le regarde et un sourire a trouvé place sur ses douces lèvres rosies par l’effet que nous avons connu. Je dépose un baiser au coin de ses lèvres avant de l’embrasser passionnément. Ce petit geste allait être notre dernier échange. Malgré tout, je profite un peu de sa chaleur en restant, un long moment dans ses bras. Je me loge dans un cocon de bonheur, seulement une sonnerie retenti et me coupe dans mon envie de me reposer encore quelques minutes à ses côtés. La fin des cours vient de sonner. Les autres, ses colocataires, mais aussi les autres étudiants ne vont pas tarder à revenir. Je laisse un soupire s’échapper d’entre mes lèvres et se faire entendre tout en relevant les yeux vers mon jumeau.

• « J’ai intérêt à aller prendre ma douche… Pense à aérer la chambre sinon tu vas te faire charrier ! »

Je dépose un dernier baiser sur sa joue et me relève à contre cœur. J’enfile rapidement mes vêtements et pose un dernier regard sur Hyo. Je sais, il n’a pas envie que je parte. Pas maintenant. Pas tout de suite. Je n’en ai pas envie non plus après tout, mais il sait que nous n’avons pas le choix. Je lui sourire et me dirige vers la porte de l’entrée de la chambre.

• « Je t’envois un message tout à l’heure, promis. »

Puis sans prendre le temps d’attendre sa réponse, je sors de la chambre et prend la direction des douches.
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Yoon Hyo
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Mar 10 Juil - 19:00

Son corps sous moi, comment cela me manquait, sa peau chaude et en sueur, ses endroits propres à lui qui le faisait frissonner à chaque fois que je passais dessus. C'était comme avant où je faisais tout pour trouver chaque point sensible dans l'espoir d'entendre un petit bruit venir de sa bouche ou une simple réaction de son corps qui allait le trahir. Cette fois par contre, ce n'était pas un jeu d'enfant, ont étaient adulte et consentant qui plus est. L'intérieur de son corps, je ne me le rappelais pas si petit, surement n'avait-il pas eu de relation depuis longtemps ou s'il en avait eu, il avait fait attention qu'il ne soit pas celui qui se faisait pénétrer par l'autre. Cette idée le révulsait, il voulait son frère pour lui-même ce qui n'était pas vraiment équitable, car même lui allait voir d'autre monde, il n'avait pas eu de relation, mais qui pouvait lui dire que jamais cela n'arriverait. Pour la peine, il donna une nouvelle vague de coup à son frère, frappant chaque fois le seul point inaccessible autrement que comme cela et il ne le manquait jamais.

Hyo sentit une douleur aigu le frapper dans les reins, il sut que la fin arrivait, il ne la voulait pas, mais au visage que son double faisait, lui aussi ne tiendrais pas. Le seul son qui s'échappa de la bouche de son frère eu raison de ma détermination, je me sentais partir, j'étais certain que j'allais éclater avant lui et comme cela il pourra me retirer pour ne pas avoir ma semence entre ses cuisse, mais ce fut tout le contraire Dae se vida avant moi ce qui me donna satisfaction et je le suivis très vite après. Ma semence entre ses cuisse, chose qu'il détestait, était une vengeance personnelle, certes je me trouvais stupide de lui faire ça, mais jamais vraiment venir entre ses chairs chaudes de mon passage. Épuiser je me laissais choir sur le corps de mon jumeau lui aussi a bout de souffle, la tête bien placer et ses doigts caressant doucement mon dos un sourire de tendresse pris place sur mes lèvres, j'étais bien, je ne voulais pas que cet instant ce termine.

Mais la réalité était tout autre, au fond de moi je le savais et j'en étais triste, cela a toujours été ainsi, jamais nous avons pu rester comme les vrais couples tranquille plus longtemps après nos ébats ou seulement nous deux devant tous. Je levais la tête espérant avoir un dernier baiser de sa part ce qui m'offrit avec un sourire puis la sonnerie de la fin des cours retentit, mon désespoirs fut énorme à ce moment, surtout lorsque Dae soupira, je savais ce que cela signifiait, la fin imminente de nous deux pour aujourd'hui. Puis la phrase fatidique, il devait aller prendre sa douche, je pensais qu'il ne bougerait pas tout de suite après, mais il me laissa la seul dans le lit, je n'ai même pas eu le temps de le voir s'habiller qu'il me dit que j'aurais un message de sa part plus tard. Un message, j'en avais rien à faire de ses messages, je pris le premier truc que je pouvais atteindre et le lançait sur la porte. J'agissais en mec délaisser par son copain, mais c'est ce que je ressentais, il était venu se satisfaire une envie perfide puis repartir en me laissant un message dans la journée. Moi, comme un idiot j'allais attendre son message le téléphone toujours en vue près de moi.

Ne voulant pas retourner le tout dans ma tête, je sortis à mon tour du lit, défit mes draps, ramassa mon linge, enfila mon peignoir avec des vêtements de rechange dans les mains, les fenêtres toutes ouvertes et je sortis à mon tour de la chambre. Je savais que les douches de mon étage à cette heure était vide et il me fallait une douche, une très longue et très très chaude pour me remettre de mes émotions. Mes études étais foutues pour aujourd'hui jamais je n'allais les finir, je n'en serais pas capable.
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