AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Je t'en foutrai du Bozo le clown moi.



 
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez | 

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Ven 8 Juin - 20:09

    « La ponctualité : Fait d'être à l'heure, de faire les choses dans le temps qui nous est imparti. »
    J’en connais une qui a dû oublier ce que ça voulait dire. Pourtant, ce n’est pas comme si je l’avais appelé et lui avait dit de se magner pour être dans le parc dix minutes plus tard. J’ai même eu le temps de faire plein d’autres choses avant de venir.

    Flashback inutile pour éviter de terminer ma rp en quatre lignes.

    J’avais attendu que mon réveil sonne, installé confortablement dans mon lit, les yeux grands ouverts, comme chaque matin. Pour dire vrai, je ne savais pas du tout pourquoi je continuais à mettre mon réveil, puisque j’étais toujours réveillé bien avant l’heure et qu’ensuite, j’étais obligé d’attendre pour que la sonnerie ne réveille pas les autres.
    Parfois, je faisais preuve d’une absence totale de logique. Absence totale de logique qui pourrait en effrayer plus d’un il faut dire.
    Je m’étais levé, douché, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Ensuite, j’étais sorti, en fait c’était comme une petite tradition, depuis que Na Jun était officiellement passée au rang de meilleure amie, on se voyait tous les samedis après-midi. La plupart du temps, c'était pour rien faire du tout. Juste parler. On se baladait comme ça. Moi j’ai toujours aimé ça. Après m’être préparé, je m’étais rendu au parc, pour attendre. Attendre et encore attendre. Hm… Elle doit sûrement avoir ses raisons, je n’ai pas besoin de m’impatienter… Pas vrai ? Elle va arriver hein?

    Retour à la normale.

    Assis en tailleur sur le banc, je lève la tête vers le ciel bleu, en passant une main dans mes cheveux de la même couleur, pour une fois le parc n’est pas très bruyant et c’est plutôt appréciable, inconsciemment un petit sourire étire mon visage, et je jette un coup d’œil à mon téléphone portable. Bof, elle ne devrait pas tarder, hein.
    Mon attention se fixe sur quelque chose de beaucoup moins calme et de beaucoup moins agréable, une bande de mecs qui piaillent, et qui doivent sûrement trouver cela cool de piailler à moins de dix mètres de mon périmètre de sécurité. Je soupire en voyant qu’ils me regardent et semblent interloqués par… Mes cheveux ? Ne tenant pas du tout à chercher les embrouilles, je fais mine de les ignorer. Fausse manœuvre, ils n’apprécient pas et viennent directement à moi.
    Là, si cela n’avait pas paru déplacé, je me serais frappé la tête, et insulté d’imbécile. Au lieu de ça, je me contente d’un :

    « Est-ce que je peux vous aider ? » accompagné d’un petit sourire (sincère, oui c’est sûrement le pire de tout.)

    « Sympa ta coupe de cheveux, tu comptes auditionner pour le cirque ? » Mon sourire passe de « ^___^ » à « =___= » ce que ça vole haut. « Je vois… » est la seule réponse que je leur offre. Sauf qu’une fois encore, fausse manœuvre. Ils prennent ça mal : « Mais c’est qu’il nous snobe Zozo le clown là ! » Je grimace et me frotte les mains, embarrassé : « Ce n’est pas… Bozo le clown ? » Comme on dit, jamais deux sans trois. Et je viens de faire ma troisième erreur. Un imbécile devient souvent violent lorsqu’il a des muscles et qu’on le reprend dans sa manière de parler.

    Bon, et maintenant je fais quoi ?
Revenir en haut Aller en bas
♕Invité
Anonymous

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Sam 9 Juin - 9:44

Le problème avec moi c’est que l’on ne pouvait pas savoir si j’arriverais à être à l’heure, en avance, ou en retard. Je connaissais très bien Qyo Mû et je savais que si j’étais en retard, ce dernier n’apprécierait pas beaucoup voire pas du tout. Alors je m’étais promis de faire tout son possible pour être à l’heure. En plus c’était après mon travail, donc je ne voyais pas en quoi je ne pourrais pas être ponctuelle. Mais justement, j’avais oublié mon patron et ses manies de me coller du travail supplémentaire. Pourtant je lui avais dit que j’avais rendez-vous avec une personne très très importante ! Oui importante, parce que Qyo Mû se doit d’avoir un tel statut, vu ses exigences ! Et puis… C’était Qyo Mû quoi ! Seulement malgré l’usage de « personne importante » et de « rendez-vous important » mon patron m’avait presque rit au nez et m’avait collé à la tâche nettoyage du bar après la fermeture. C’était juste un affreux personnage, que j’aurais bien poussé sous un camion… Du coup, je m’étais mise à prier vachement fort pour que Qyo Mû ne m’en veuille pas, mais mon subconscient me répétait que je me faisais des idées, que j’aurais droit à la remarque cinglante du « Tu sais que tu es en retard ? » de mon meilleur ami. Aaaaaah !!! Mais pourquoi j’avais un patron pareil !!!!

*Aaaaaish !! Un jour je le tuerai celui-là !! Et il lavera son bar tout seul !!*

Pensé-je. Ce qui m’angoissait aussi c’était que dans un parc, Qyo Mû et ses cheveux bleus… Tout seul… J’avais peur qu’il leur arrive un truc. Du coup j’allais de plus en plus vite dans le nettoyage. Je passais la serpillère comme une formule 1, la cuisine et le bar je les nettoyai en un passage éclair mais suffisamment bien fait pour que ça brille. Et une fois tout ça fait, j’allais dans le vestiaire pour retirer sa tenue de barmaid. Aaaaah !!! Et j’étais encore plus en retard !!! Et il fallait que je me chaaaange !!! Parce j’aime pas me montrer dans une tenue pas assez normale devant Qyo Mû ! Aaaaah ! La galère !!! Et c’est tel un ouragan que je sortis du bar et que je me précipitai chez moi pour m’habiller un peu plus réglo. Oui oui, j’allais juste voir mon meilleur ami. Mais que voulez-vous, Qyo Mû comme je l’ai dit c’était Qyo Mû. Je ne pouvais pas me permettre de faire n’importe quoi. Une fois tout ça terminé, je me précipitais vers le parc... AAAAH !! J’avais oublié mon porte-monnaie dans ma précipitation !! Tant pis ! Courir jusqu’au parc n’était pas du tout un problème pour moi.

Ce fut donc en courant que je me rendais au parc, priant très fort pour qu’il n’arrive rien à Qyo Mû et ses beaux cheveux bleus fluo. Je manquais plusieurs fois de me faire renverser par des vélos, je bousculais tout plein de gens aussi et je me demandais :

*POURQUOI Y’A –T-IL AUTANT DE MONDE DANS CETTE VILLE !!!*

Parce que tout ce petit monde affairé dehors sous le soleil me ralentissait plus qu’autre chose. Pire ! Les feux piétons étaient toujours rouges quand j’arrivais devant le passage piéton ! Mais pourquoi le monde entier était contre moi aujourd’hui ! Je couru encore plus vite du coup vers le parc. Et finalement quand j’arrivais enfin à destination... Ce n’était plus le monde qui était contre moi, mais Qyo Mû et ses cheveux bleus. Reprenant haleine, je me mis à le chercher partout dans le parc. Pourtant une tête à cheveux bleus ça se repère à des kilomètres non ?! Pourquoi je ne le voyais pas ?! Ça m’angoissait.

*Je parie qu’il s’est impatienté… Il a cru que je ne viendrais pas… aaaaish… *

Me dis-je à moi-même, m’arrêtant de nouveau pour reprendre mon souffle. Quand des clameurs attirèrent mon attention. Hum ? Un groupe de mauvais garçons s’en prenait à un individu en se moquant de lui. Ils riaient tous. Aish ! Je détestais ça. Je m’approchais et je crois que je fis bien de le faire : des cheveux bleus entourés de bad boys rieurs fut la scène que j’eus sous les yeux. Je fronçais les sourcils, serrait les poings et les dents. Nan mais ils faisaient quoi là ?! Ils voulaient que je leur arrache la tête ?!! En m’avançant, j’entendis leurs moqueries et les réponses de mon meilleur ami. Mais qu’est-ce qu’ils étaient nuls ! Bozo le clown n’avait pas du tout les cheveux bleus d’abord ! Et puis il était moche et avait une calvicie ! Avant que l’un deux n’en vienne aux mains sur Qyo Mû, je mis une belle droite à celui qui allait justement frapper Qyo Mû. Bien entendu il me regarda genre « nan mais c’est qui cette pute qui vient de me frapper ?! » Oh mon dieu, sa tête… Elle me rappelait…

« Hey, tronche de harang saure ! Revois tes classiques avant d’insulter les gens ! Et touche un cheveux de mon meilleur pote et je te jure que je te renvoie au fond d’un océan c’est clair ! Alors dégage avant que je te coupe en rondelle pour te foutre en boite de conserve sale poscaille défraichie ! »

Quand on touchait ou visait à faire du mal à Qyo Mû j’étais toujours comme ça. Effrayante même si mes menaces n’étaient pas crédibles en soi, mon visage et mon regard signalaient qu’il valait mieux ne pas insister plus que ça. Le type et sa bande l’avait bien compris. Ils partirent donc sans demander leur reste, mais sans doute en se promettant de se venger de moi. Ahlala… la jeunesse parfois… Après avoir réglé ce problème, je repris mon air normal et fis face à… Qyo Mû pas content ? Ah ouais… J’étais super en retard. Explique toi vite Na Jun ou le garçon au cheveux bleus allait pas du tout être content de l’après-midi….

« Ah…Hum… Désolée pour le retard Qyo ! J’avais prévenu mon patron à l’avance que j’avais un rendez-vous auquel je ne pouvais pas être en retard, mais il ne m’a pas crue cet abruti et m’a collé de corvée nettoyage du bar. Je te jure que j’ai fait aussi vite que j’ai pu ! J’suis vraiment désolée ! »

Je n’avais plus qu’à prier qu’il accepte mes excuses…
Revenir en haut Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Sam 9 Juin - 12:20

    Des fois quand je me retrouve dans des situations comme celle-ci, je me demande pourquoi je m’oppose à la violence et pourquoi je reste si calme. Je veux dire, même en étant fin comme je le suis, je n’aurai aucun mal à lui faire bouffer ses dents si je le voulais. C’est juste que… Je n’aime pas ça. Je ne vois pas pourquoi je me donnerai la peine de m’énerver alors que ce gars n’est même pas fichu de se souvenir que Bozo a les cheveux oranges, et pas bleus. Les gens qui ne me connaissent pas doivent sûrement me prendre pour un ovni, et même ceux qui me connaissent d’ailleurs. De par mon caractère, je me démarque des autres, et tout cela inconsciemment. En ce qui concerne mes cheveux ? Je devais probablement être bourré ce jour-là, car je réponds à ceux qui se posent la question :
    Non, je ne suis pas né avec cette couleur de cheveux.
    Mais si moi je m’y suis habitué, pourquoi les autres n’y arriveraient pas, et surtout… Pourquoi est-ce que les imbéciles dans son genre se sentent-ils obligés de sortir autant de bêtises à la minute ?
    C’est donc, plongé dans mes pensées que j’attends patiemment qu’il me foute sa droite, et qu’ensuite je puisse retourner vaquer à mes occupations, à savoir : attendre. J’entends le bruit d’un coup, mais étrangement, je ne sens rien du tout. J’ouvre un œil… Puis deux, et un soupir s’échappe d’entre mes lèvres. J’aurai dû m’en douter : Na Jun. « Hey, tronche de hareng saure ! Revois tes classiques avant d’insulter les gens ! Et touche un cheveu de mon meilleur pote et je te jure que je te renvoie au fond d’un océan c’est clair ! Alors dégage avant que je te coupe en rondelle pour te foutre en boite de conserve sale poiscaille défraichie ! » J’observe ce qu'il se passe, perché sur mon banc et soupire une nouvelle fois. Je revois toujours cette « scène » tout à fait semblable, lorsque Na Jun part au quart de tour quand quelqu’un commence à me chercher, une boule se crée au creux de mon ventre, et ensuite j’ai peur. Pas pour moi non, pour elle. Ce petit bout de femme a beau être fort, ça va finir par lui retomber dessus. Mais ce jour-là…
    Je serai là, fidèle au poste.

    « Toujours à faire dans la dentelle hein… » Dis-je alors qu’ils sont en train de décamper.

    Je leur jette un coup d’œil, étonné qu’ils lâchent l’affaire si vite. Bof, ce n’est pas plus mal cela dit. Je m’assieds normalement et observe le comportement de Na Jun. Hm… J’en connais une qui s’en veut d’être en retard. Je souris quelque peu, attendant de voir ce qu’elle va me dire pour se défendre : « Ah…Hum… Désolée pour le retard Qyo ! J’avais prévenu mon patron à l’avance que j’avais un rendez-vous auquel je ne pouvais pas être en retard, mais il ne m’a pas crue cet abruti et m’a collé de corvée nettoyage du bar. Je te jure que j’ai fait aussi vite que j’ai pu ! J’suis vraiment désolée ! » Je me lève et souris. Elle a cru que j’allais m’énerver ? Suis-je vraiment du genre à m’énerver pour un détail pareil ? Hm… Soit la réponse est non, soit je suis schyzophrène et personne n’a jugé bon de m’en toucher un mot. On va opter pour la première solution.

    « C’est rien va, et puis en plus tu es arrivée pile au bon moment Wonder-woman Je prends le temps de réfléchir une petite minute et reviens sur ce que j’ai dit : Quoi qu’en fait, je doute qu’elle soit si vulgaire. » Dis-je en lui tirant la langue et en la bousculant gentiment.

    Etonné ? Sûrement oui, car lorsque je suis avec Na Jun, il n’y a plus de timidité qui tienne. C’est ma meilleure amie après tout, ne serait-ce pas un comble si je n’arrivais pas à placer un mot en sa présence ?
Revenir en haut Aller en bas
♕Invité
Anonymous

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Dim 10 Juin - 15:12

A chaque fois que je rencontre Qyo Mû, j’ai toujours l’impression qu’il se fourre dans des situations pas possible où je suis obligée de le sauver. C’est presque comme si je suis préposée à toujours lui venir en aide. Déjà quand on s’est rencontré, j’avais dû me mettre en mode Wonder Woman pour le sauver. Entendre les mecs le traiter de Bozo le clown ça passait mal, et en plus voir un mec tenter de le frapper c’est juste un truc inacceptable pour moi. Du coup j’avais dit le fond de ma pensée et j’avais donné une belle droite au mec. C’était comme ça. On ne touchait pas à Qyo Mû comme on le voulait ! En plus c’était super dangereux parce qu’avec mon caractère, je pars facilement au quart de tour en plus. Comme toujours j’avais fait ainsi mon entrée triomphale devant Qyo Mû, et comme toujours il ne semblait pas plus surpris que ça. Et comme toujours moi je me demandais comment est-ce que Qyo Mû faisait pour rester aussi stoïque. Il aimait se faire tabasser ? Ok je veux bien qu’il déteste la violence, mais tout de même. De là à ne pas se défendre ! Il ne tenait vraiment pas à sa vie ! Mais je m’étais habituée à ce genre de chose. Qyo Mû était particulier et certainement pas du tout comme tout le monde. Alors parfois, je ne cherchais même plus à comprendre ses réactions, parce qu’il n’y avait que lui pour en avoir de telles.

« Toujours à faire dans la dentelle hein… » Me fit-il remarquer avec un sourire. Voilà aussi ce que j’aimais chez lui, outre sa couleur de cheveux. Sa répartie. Il n’y en avait pas deux comme la sienne.

« Ouais toujours ! On ne change pas les bonnes vieilles habitudes hein ~ » lui avais-je répondu en lui rendant son sourire. Par contre je remarquais aussi sa surprise quand il vit les gamins partir après ma remarque pas du tout crédible. Moi aussi ça m’étonnait un peu. Même si, je dois l’avouer, je devais vraiment avoir l’air terrifiant. Enfin, je ne m’attardais pas trop sur ce petit détail, vu que l’important pour moi était qu’ils nous laissent tranquille. D’ailleurs, je me dis que si j’étais arrivée à l’heure, tout ça ne serait pas arrivé. Mais bon, mon patron était un abruti fini qui passait son temps à me fourguer toutes les tâches les plus longues, histoire de m’embêter. Je m’excusais auprès de mon meilleur ami, lui expliquant les raisons de mon retard. Peur qu’il soit en colère ? Un peu oui. Mais c’est que je ne savais jamais comment il pourrait réagir. C’était toujours comme ça. C’était mon meilleur ami je sais. Mais je n’avais jamais réussi à vraiment le cerner totalement. Il restait toujours un espèce de mystère pour moi. Mais j’aimais bien ce côté-là chez lui.

« C’est rien va, et puis en plus tu es arrivée pile au bon moment Wonder-woman… Quoi qu’en fait, je doute qu’elle soit si vulgaire. »

Voilà qu’il devenait taquin. Je lui souris riant légèrement. J’étais vulgaire de toute façon. Et je jouais un rôle équivalent à celui d’une Wonder-Woman. Il était le seul d’ailleurs à pouvoir me taquiner de la sorte. Ouais car beaucoup d’autres se serait déjà pris un coup dans le nez. Je suis trop impulsive et toujours les nerfs à fleur de peau, mais Qyo Mû avait aussi cette capacité à me rendre moins tendue et à limiter ma frappe facile.

« Mais je suis la nouvelle génération de Wonder Woman, tu ne le savais pas ? » lui répondis-je. J’avais aussi cette faculté de pouvoir rester moi-même avec lui. Tout était toujours facile. Pas la peine de se poser des questions avec Qyo Mû, toutes mes réactions me venaient de façon naturelle. C’était aussi ça que j’aimais chez lui. Cette force qui faisait que toutes les choses devenaient faciles et agréables.
Revenir en haut Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Lun 11 Juin - 17:26

    J’aime bien mon samedi, même si souvent il est agité, s’il est agité avec Na Jun ça ne me dérange pas plus que cela. Tous les deux, nous sommes assez différents. J’irai jusqu’à dire que je suis un extrême et qu’elle est l’autre. Na Jun elle, n’hésite pas à se jeter tête baissé, dangereux ou pas. Quelque part, je l’envie un peu, car moi quel que soit la situation, je reste stoïque… Situation dangereuse ou pas. Je dirai qu’on se complète l’un et l’autre. J’essaie tant bien que mal de la tempérer, et elle me botte les fesses quand je suis trop à côté de la plaque. J’imagine que c’est ça « être amis ». De toute façon, je n’échangerai cette amitié pour rien au monde. Elle m’est bien trop précieuse. Même si elle a la fâcheuse d’être un peu trop imprévisible à mon goût parfois, mais bon je n’y peux rien. Même si elle me fait peur par moment, je ne veux pas non plus qu’elle change. « Ouais toujours ! On ne change pas les bonnes vieilles habitudes hein ~ » Je hoche doucement la tête.

    « Et ben ça, à qui le dis-tu. Dis-je alors qu’un petit sourire éclaire enfin mon visage. Je souffle un bon coup, et termine, par lui faire remarquer un point que je considère comme important: Mais tu devrais faire un peu plus attention, un jour ça va finir par vous retomber dessus, toi et ta grande bouche. »

    A vrai dire, je ne sais pas pourquoi je perds encore mon temps à essayer de la prévenir, vu que je sais que ça ne changera absolument rien du tout. Je hausse les épaules, je ne lâcherai pas l’affaire si facilement de toute façon. Même si c’est peine perdue, elle sait que j’ai raison. Je continue de marcher à ses côtés et fourre mes mains dans mes poches. Le soleil me rend toujours joyeux, j’aurai bien été à la plage pour faire un peu de plongée, mais ça j’aime le faire seul, donc forcément vu que mon samedi est entièrement dédié à Na Jun, on oublie. « Mais je suis la nouvelle génération de Wonder Woman, tu ne le savais pas ? » Je la regarde un instant, avant de rire un peu à cette remarque, n’ayant aucun mal à l’imaginer avec ce titre.

    « Tu m’en apprends de bonne tiens ! Dis-je en secouant la tête, riant toujours quelque peu : Ah la la… Sérieusement. Je reporte mon attention sur elle, je l’attrape par la main et la tire vers moi, passant une main dans ses cheveux et la décoiffant. Plus que meilleurs amis, parfois j’ai l’impression d’être son grand-frère, et elle la sœur que je n’ai jamais eu. Oui, parce que j’ai eu deux frères, c’est déjà pas mal je sais, mais j’aurai bien aimé en avoir une petite sur qui prendre soin. Je t’offre quelque chose ? »

    Je continue de marcher à ses côtés et vois au loin un petit marchand de glace. Je jete un œil à Na Jun pour voir si elle s’en est rendue compte, certain que si c’est le cas, je vais devoir lui acheter une glace triple dose.
    C’est que je la connais, la « Wonder Woman des temps modernes. »
Revenir en haut Aller en bas
♕Invité
Anonymous

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Mar 12 Juin - 11:23

J'ai toujours aimé mes weeck-end, surtout quand c'était le passer avec Qyo Mû. Il mettait toujours du soleil dans ces journées. C'était limite si le temps aimait aussi nos weeck-end. Il est chou en plus. Un vrai genre de grand frère que j'ai jamais eu. Dire que je suis aussi en colocation avec l'un de ses frères ! Au moins je peux le dire, Qyo Mû est vraiment différent et particulier. Et j'aime ça chez lui, son côté un peu différent de tout le monde. Il a même su me faire partager sa passion pour les sciences naturelles et les fonds marins ! C'est dire ! Comme quoi le bleu lui va comme un gant.

Mais il a aussi la fâcheuse habitude de me dire tout le temps que je devrais avoir moins la frappe facile. Mais je suis impulsive moi ! Je fis la moue quand il me redit encore une fois que je devait faire attention. Genre ça nous retombera dessus. N'empêche que sans moi, il serait presque toujours envoyé à l'hosto !

- Mais oui je vais faire attention, Oppa ! oui Oppa. Je sais qu'il a deux ans de moins que moi mais je m'en fiche. Il est comme mon grand frère alors je l'appelle comme ça par habitude, dès qu'il me fait un peu ce genre de remarque. En plus en disant ça, ça se sent que je ne suis même pas convaincante. Un sourire fin se dessina sur mes lèvres. Oui oui je n'écouterai pas comme d'habitude et ça m'amusait. Le pauvre, je lui menais moi aussi la vie dure, mais il ne m'en voulais jamais. T'en fais pas, Qyo, je n'irai jamais à l'hosto de ma vie tu verras !

Je n'y ai d'ailleurs jamais mis les pieds. Et puis je suis du genre Warrior ! Mais bon... J'avoue quand même qu'il a raison. Un jour je devrais éviter de frapper n'importe qui. Et tenir aussi ma langue parfois. D'ailleurs j'avais essayé de le convaincre que j'étais une Wonder Woman des temps modernes. Mais il me rit au nez. En même temps j'avais vraiment cherché à ce qu'il rit hein. J'avais dit ça aussi pour rire. Mais j'avais vraiment ce rôle de Wonder Woman aussi. A le sauver presque tout le temps comme ça... Enfin heureusement, il avait aussi le rôle de Super Man parfois.

Il me rapprocha contre lui et m'ébouriffa les cheveux. Il était bien le seul à avoir ce droit ! Vu qu'il était un peu comme mon grand frère. J'eu un sourire amusé. Je vis au loin un glacier et pile à ce moment là, il me proposa de m'offrir un truc à boire ou manger. Inutile de dire que je voulais aussi cette glace. On alla donc vers le glacier. Mais y'avait vraiment trop de monde devant le glacier.

- Je ne dirai pas non à une glace. Mais y'a pas mal de monde là. Alors attends, j'vais aller voir les parfums vite fait et puis je reviens te dire ce qu'il y a.

Je l'abandonnais quelque temps et me dirigeais ainsi vers le glacier. Plongée dans l'observation des parfums, je n'avais pas vu le type d'il y a une heure qui s'était glissé derrière moi. Il me mit la main sur la bouche et le nez et m'entraîna loin du glacier. Et merde !! Mais pourquoi ce harang n'avait pas du tout compris la leçon ! Je me retrouvais avec eux dans une rue un peu plus loin. Mais j'ai bien vu que Qyo Mû m'avait vue être embarquée. Donc je paniquais pas plus que ça. D'ailleurs quand il me lâcha, je commençais à me mettre en mode agressive.

- Mais t'es vraiment un crétin toi ou quoi ? Nan mais t'as cru que la vie c'était un kiwi ?? T'as pas compris tout à l'heure ?

Mais il se mit à me rire au nez. Le pire à faire quand je suis juste pas contente. Mais là j'étais... totalement.... Dépassée par le nombre de mecs. Oh la la la.... Ca sentait le roussi... Surtout que je me retrouvais légèrement acculée là.... Qyo Mû dépêche toi, si tu veux pas que ta tite Na Jun se retrouve.... Enfin voilà quoi...
Revenir en haut Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Mer 13 Juin - 14:30

    Oui voilà une petite sœur avec son lot de surprise et de frayeurs. Na Jun est exactement cela pour moi. Je sais que ça l’embête que je sois parfois sur son dos à lui rabâcher les mêmes choses, mais je n’y peux rien. Je n’ai pas envie de la perdre elle aussi. Je ne dirai pas que ma vie jusqu’ici a été « palpitante » mais elle a eu son lot de perte, et il est hors de question que j’essuie les pots cassés de nouveau. Alors ma Na Jun, aussi têtue puisse-t-elle être, je l’ai, je la garde. Et gare à ceux qui essaieront de lui faire du mal, car j’ai beau être inoffensif en temps normal, en ce qui la concerne, il suffit d’un rien pour que je m’énerve. Exactement comme elle avec moi au final, j’imagine que son côté impulsif est plus compréhensible une fois que l’on sait ça. - Mais oui je vais faire attention, Oppa ! Je pouffe de rire tellement c’est peu habituel d’entendre ça. Je veux dire j’ai deux frères, si Bak ou Jin se mettent à m’appeler comme ça, je vais me poser de sérieuses questions.

    « Dixit celle qui a dû déjà me le promettre une bonne trentaine de fois. Dis-je alors que mon sourire fait de nouveau apparaître une petite fossette sur ma joue : T'en fais pas, Qyo, je n'irai jamais à l'hosto de ma vie tu verras ! Je soupire à cette idée-là. Comme j’aimerai en être persuadé, vraiment. Mais quand je la regarde, je ne vois vraiment pas quelqu’un capable de se contrôler. Hmm, disons que je ne te le souhaite pas. Mais malheureusement… » J’ajoute en la regardant de haut en bas d’un regard qui laisse clairement présager le fond de ma pensée.

    Puis nous commençons notre ballade, nous dirigeant doucement mais sûrement vers le marchand de glace. Ce qui n’est pas une mauvaise idée du tout, j’ai bien envie de manger quelque chose de frais moi. Et puis, il ne fait aucun doute que cette idée conviendra également à Na Jun. - Je ne dirai pas non à une glace. Mais y'a pas mal de monde-là. Alors attends, j'vais aller voir les parfums vite fait et puis je reviens te dire ce qu'il y a. Je hoche la tête et la laisse partir devant, croisant les bras, et l’attendant à quelque pas du marchand. J’assiste alors à une scène, que je qualifierais de… Pathétique ? Ce gars pense franchement que je vais le laisser l’emmener ? Je les suis au pas de course et arrive au coin de la rue peu de temps après : - Mais t'es vraiment un crétin toi ou quoi ? Nan mais t'as cru que la vie c'était un kiwi ?? T'as pas compris tout à l'heure ? Je secoue la tête et soupire, même à un contre 5, elle n’en démords pas. Cette nana n’est décidément pas possible.

    Alors qu’il commence à se regrouper autour d’elle, je juge qu’il est temps d’intervenir : « J’arrêterai là tout de suite si j’étais vous. Dis-je en m’adossant au mur alors qu’un à un ils se retournent vers moi :« Tiens mais c’est qu’il s’y croirait presque Bozo !» Non, si vous en doutiez, ils n’ont toujours pas appris à vanner.
    Ne me portant plus grand intérêt, ils bloquent mon amie contre le mur, et il semblerait que les mots ne soient pas suffisants. Je réduis la distance qu’il y a entre nous, j’en chope un par le blouson et lui colle une droite directement dans la mâchoire. Je colle un coup de pied à l’autre qui s’approche et joue encore des poings sur un troisième. Après cela, je m’arrête droit devant Na Jun et je les regarde tous avec un regard noir. S’ils croyaient pouvoir faire leurs affaires tranquillement, ils se trompent : « Je peux jouer moi aussi ? Histoire que les chances soient un peu plus égales, vous en dites quoi ? » D’un signe qui semble unanime, ils filent tous en courant et je souffle soulagé.

    Je me retourne vers elle et la regarde comme si elle dire la plus grosse ânerie du monde : La vie un kiwi ? Non mais t’es sérieuse là ?! » Cela peut paraître complètement hors sujet, mais il ne faut pas croire.
    Je suis vraiment en colère.
Revenir en haut Aller en bas
♕Invité
Anonymous

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Dim 24 Juin - 17:18

Qyo est vraiment quelqu’un d’important pour moi. La preuve en est que lui seul peut me faire des remarques sur mon attitude impulsive. Je sais qu’il a raison au fond de me mettre en garde. Je sais bien que je ne suis pas une Jun toute puissante, mais dès que ça le concerne je ne peux vraiment pas m’en empêcher. C’est comme ça. Bon, c’est vrai que je le suis un peu pour tout et n’importe quoi. .. Et convaincre Qyo que je ne mettrai pas un orteil à l’hôpital, c’est plus que difficile. Je sais qu’il s’inquiète beaucoup pour moi à cause de ce caractère de cochon… En un sens je m’en veux un peu. Et puis… Les seuls moments où je me rends compte que j’aurai vraiment du l’écouter c’est quand je suis dans les pires situations possibles… De nouveau je lui promets de faire gaffe, et surtout que je ne mettrai toujours pas un pied à l’hôpital. Mais ça ne marche pas vraiment…


D’ailleurs pour parler de l’hôpital… Il me croit toujours pas ! Au contraire, il me regarde de haut en bas, tentant de me faire comprendre le fond de sa pensée. Je fronce les sourcils, faisant une petite moue en essayant de lire dans ses pensées et suis son regard. Je commence à comprendre. Je ferme les yeux et soupire « Aaaaiiiish…. » Je le regarde alors droit dans les yeux : « Yah… Qyo… tu vois ça ? » Je lui montre de mon index ce qu’il regardait y’a déjà une minute, faisant un geste de haut en bas. « Je ne vais pas laisser n’importe qui y toucher hein ! Réfléchis… Avec mon caractère, tu crois vraiment que je laisserai quelqu’un me tripoter ? » Hum… Oui moi aussi je ne suis pas vraiment convaincue que face à plusieurs je saurai faire quelque chose… Je reste une fille après tout… Je soupire un peu. Et lui sourit « Qyo, je te juuuure que je ferai super gaffe. » Et pour conclure, voilà que je lui prend la main, et croisant mon petit doigt au sien et allant coller mon pouce au sien « C’est promis de chez promis. »

Seulement… Le vent n’avait pas eu envie d’être de mon côté et n'avait pas envie que je tienne ma promesse dès aujourd'hui. On allait vers le marchant de glace, quand je me fais bêtement enlevée par les types de tout à l’heure… Ils commencent à m’agacer d’ailleurs ! Et puis faire ça devant Qyo, c’est vraiment chercher à mourir !... Et moi, tout en sachant dans quelle situation je suis, tout comme je sais vers quoi ça va déboucher chez Qyo, je sors ma phrase fétiche suivie d’une belle ribambelle de phrases inutiles… Aigo ! Na Jun ! Tu réfléchis parfois ! Et me voilà alors dans de beaux draps… Les types qui m’encerclent et me coincent. J’aurai vite trouvé une solution, mais je me rendais aussi compte que j’avais encore fait une promesse dans le vent. Et le temps que je songe à tout ça, Qyo intervenait. « J’arrêterai là tout de suite si j’étais vous. » Forcément j’étais soulagée… Mais je voyais très bien quelle émotion envahissait déjà Qyo à ce moment-là. Mais les types étaient plus que têtu… Et moi qui venait de dire qu’on ne me toucherai pas comme ça, voilà qu’on me plaque contre un mur, ignorant Qyo. Pourquoi je ne parviens pas à bouger ? Na Jun t’es vraiment bête ! Je n’avais pas assez de place pour faire le moindre geste.

Mon meilleur ami. Je suis vraiment tout aussi dépendante de lui parfois… Tout alla très vite. Qyo se débarrassa de ces types, les frappant suffisamment fort pour leur faire comprendre qu’ils n’avaient plus intérêt à continuer. La colère se lit sur son visage, je me sens mal, parce que c’est ma bêtise qui en est responsable là… Si je n’avais pas commencé aussi… « Je peux jouer moi aussi ? Histoire que les chances soient un peu plus égales, vous en dites quoi ? » Le ton de la voix me fait tout aussi frémir, que les autres… J’aime tellement pas le voir dans un état pareil… Les bras ballant, la tête légèrement baissée derrière Qyo, je me mets à culpabiliser. Je lève les yeux un peu… Je vois les types partir… Et je croise le regard plein de colère de Qyo. Je me pince la lèvre…

« La vie un kiwi ? Non mais t’es sérieuse là ?! » Je sursaute. Le ton de la voix… Je suis vraiment bête parfois… Et je réfléchis pas… « …. Désolée…. » comme toute les fois qu’il est en colère, je tire sur le bas de mon haut, le regardant par intermittences, comme la petite sœur qui venait de faire la plus grosse bêtise. Je soupire de nouveau mais plus parce que je me sens vraiment idiote. J’avance vers lui et le serre contre moi. Il me repousse ou pas ? Bah ! Il est en colère aussi… « Merci…. Et désolée… J’suis vraiment une idiote hein ?.... » Je le lâche. Ca n’aura duré qu’une petite minute, mais j’espère que ça l’aura un peu calmer… ou pas… Me pinçant la lèvre. « … Je te paie la glace pour me faire pardonner ? Et… ah ! Je vais faire tout ce que tu veux cet après-midi. » Même réaliser ma promesse de ne plus me fourrer dans des trucs du genre… Mais j'ai un doute... J'ai peur que ça ne le calme pas en fait... Na Jun, t'as plus qu'à t'en prendre à toi même !
Revenir en haut Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Mar 26 Juin - 19:31

    « Aaaaiiiish…. Yah… Qyo… tu vois ça ? Je ne vais pas laisser n’importe qui y toucher hein ! Réfléchis… Avec mon caractère, tu crois vraiment que je laisserai quelqu’un me tripoter ? Qyo, je te juuuure que je ferai super gaffe. C’est promis de chez promis. » Je l’observe faire son petit monologue, et ne peux m’empêcher de rire, en voyant à quel point elle essaie d’être persuasive. Sauf que pas de chance pour elle, je la connais. Alors, si ce n’est pas aujourd’hui, ce sera demain. Mais Jun a la capacité de s’attirer des ennuis au moins tous les deux jours, donc quand elle me dit qu’elle fera super gaffe, j’ai un peu de mal à la croire. Ce n’est pas contre elle hein, c’est juste que ses actions passées ne jouent pas franchement en sa faveur. Rien de grave, pas vrai ?

    « Paaabo. C’est justement TON caractère le problème, Jun. » Dis-je limite excédé. Je sais très bien qu’elle ne se laissera pas faire, mais c’est justement parce qu’elle est trop grande gueule que les ennuies pleuvent. Vous suivez ma logique ?

    Enfin, tout ça pour dire qu’il y a des personnes débiles ici-bas. Cette bande de pochtrons pensaient réellement qu’en embarquant Na Jun, sous mon nez j’allais les laisser faire ? J’espère pour eux que non. Une autre option se présente, ils ont fait ça dans un but précis, se venger. Dans les deux cas, c’est stupide.
    Je n’aime pas me mettre en colère. Mais en ce qui concerne Na Jun, je ne peux pas me contrôler, c’est plus fort que moi. Je ne supporte pas de la savoir dans un quelconque danger. Donc forcément, lorsque j’assiste à cette scène, je ne reste pas longtemps passif et intervient aussi vite. Je leur fais comprendre que continuer est inutile. Hors de question qu’il la touche, et je crois qu’ils ont bien assimilé le message… Heureusement en même temps, je ne me vois pas trop continuer à taper. C’est que… Comme je n’ai pas l’habitude de jouer des poings, je suis un peu rouillé. Mais ça, personne n’est obligé de le savoir, tant que je réussis à les faire déguerpir, c’est suffisant.
    Bah voilà, c’est malin, maintenant je suis énervé, et j’ai toujours eu du mal à me calmer dans ce genre de situation, la suite de la journée risque d’être sympathique. « …. Désolée…. » Je l’observe et soupire, au moins elle n’a rien, mais ce n’est pas avec un désolé qu’elle va arranger les choses. Ce n’était pas elle qui un peu plus tôt me promettait de faire attention ? Et après elle s’étonne que je sois tellement méfiant et protecteur parfois ? Je lève les yeux au ciel, choisissant de ne rien répondre du tout. Je ne la quitte pas des yeux, et croise les bras en la voyant agir, me rendant compte du nombre de fois où ça s’est terminé comme ça.
    Lorsqu’elle me prends dans ses bras, je ne la repousse pas mais ne réponds pas à son étreinte. « Merci…. Et désolée… J’suis vraiment une idiote hein ?.... » Je fronce les sourcils, et hocha la tête pour appuyer ses dire :

    « Effectivement, ça c’est rien de le dire ! « … Je te paie la glace pour me faire pardonner ? Et… ah ! Je vais faire tout ce que tu veux cet après-midi. » J’arque un sourcil, curieux de voir jusqu’où elle est capable d’aller pour me faire oublier ses bêtises. Je veux une glace de dix boules, et je veux aussi que tu me fasses des claquettes. Je la regarde un instant et termine : Quoi ? Je sais que tu ne sais pas en faire, mais tu veux que je me calme ou pas ? » Dis-je alors qu’il est évident que ça va déjà un peu mieux.
    Qu’est-ce que vous voulez, c’est l’effet Na Jun.
Revenir en haut Aller en bas
♕Invité
Anonymous

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Jeu 28 Juin - 11:14

« Je veux une glace de dix boules, et je veux aussi que tu me fasses des claquettes. » inutile de préciser que quand il me dit que je devrais faire des claquettes, j’eus une expression qui montrait que je sentais le piège fourbe là. D’ailleurs il avait parfaitement compris le blem… « Quoi ? Je sais que tu ne sais pas en faire, mais tu veux que je me calme ou pas ?» Je fis une grimace bizarre. Et je réfléchis aussi dans le même temps. Ouais je voulais qu’il soit joyeux. Alors je poussais un soupire. Au moins il ne pourra pas espérer d’avoir les claquettes. Mais je savais que la glace dix boules je pouvais le faire. Il en aura plein. Je sortis mon porte-monnaie et regarda combien j’avais. Je me mis alors à compter le nombre de glaces j’allais devoir lui acheter. Une fois fait, je ne lui dis toujours rien, mais je pris direct la direction du glacier. Hein ? Lui demander les parfums qu’il voulait ? Mais je le connais par cœur vous le saviez pas ? Alors c’est facile. Avec dix boules, il pourra avoir tous les parfums qu’il aime. Je passais la dernière devant le glacier.

Et je lui demandais alors si je pouvais lui payer dix packs de glace des parfums que je voulais. Inutile de dire que le glacier me regarda un moment me prenant limite pour une folle. Je lui adressais un sourire qui montrait que j’étais bien sérieuse. Par contre, il allait falloir oublier les cônes… Ou pas ! Je lui demandais carrément de me mettre son plus gros cône à part. Evidemment je parus encore plus bizarre à ses yeux. Je commençais à m’impatienter. « Eh ! Elles vont fondre là si vous n’allez pas plus vite ! Et je refuse ça ! »Le glacier sursauta, et se pressa de me donner ce que je voulais. Je lui payais les packs de glace et le remercia.

En l’abandonnant lui et son stand, je lui chipais une cuillère à glace et rejoignis Qyô. « Bon alors c’est parti ! » Je m’installais à côté de lui et m’armant de la cuillère je lui fis sa glace dix boules. C’était plus facile comme ça en fait. Au moins là, j’organisais la glace comme je le voulais. Et en plus je n’allais pas organiser les boules sur une seule et même colonne ! C’était super artistique ! Le cône était suffisamment large en haut pour qu’au fond je parvienne à tasser cinq parfums. Une fois la glace terminée « TADAAAAAAAAAM ! » Je tendis le cône tout sourire à Qyô. Je lui avais même donné une serviette. Histoire qu’il se salisse pas. Je ne fis même pas mention des claquettes.

« Si tu en veux une autre, tu me le dis ! » On ne sait jamais. Et puis je réfléchis à un moyen de faire des claquettes. Sûr qu’avec mes baskets en toile là j’aurais du mal… Alors que si j’avais des talons, j’aurais pu lui faire des pseudos claquettes sur le bitume. Alors je réfléchis encore une fois. Il me restait combien de sous déjà ? Je rejetais un œil dans mon porte-monnaie. Ah bah j’avais plus rien pour les claquettes… « Hum… Qyô, j’ai plus de sous pour acheter les chaussures à claquettes… » Je lui montrais mon porte-monnaie vide.

« Faudra que tu trouves un autre truc. » Je fis genre j’étais triste de pas pouvoir faire les claquettes. Même si j’aurais pu lui en faire des pseudos sur le bitume, ça m’évitait de me tuer les pieds dans des chaussures à talons. J’étais jamais trop talons moi… Donc là heureusement que j’avais la cuillère. Je pouvais, en attendant, profiter aussi des glaces que j’avais achetées pour faire la glace à Qyô.
Revenir en haut Aller en bas
Ram Qyo Mû
Ram Qyo Mû
Matières : Sciences
Messages : 67

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide
Mer 5 Sep - 16:58

    Bon ce qui est fait est fait, inutile d’en parler pendant des heures. Mais en tout cas, elle m’est « redevable » et même si je ne suis pas du tout du style à jouer sur des choses comme ça, pour cette fois, et bien ça me tente bien, d’où la demande excessive d’une glace à dix boules. Qu’est-ce que voulez que j’y fasse si je suis un éternel insatisfait ? Enfin, toujours est-il que la grimace qu’elle me fait lorsque je lui parle de claquettes m’arrache un sourire que j’efface aussitôt. Bah oui, j’essaie de paraître crédible, donc si je rigole tout de suite, ça ne va pas trop le faire. Elle m’emmène au marchand de glace d’un peu plus tôt et à l’entente de sa commande, je baisse la tête pour éviter d’exploser de rire, c’est clair qu’il n’a pas dû en avoir beaucoup des demandes du style. « Eh ! Elles vont fondre la si vous n’allez pas plus vite ! et je refuse ça ! » Une fois que j’ai réussi à regagner un minimum de sérieux, je relève la tête, et le regarde droit dans les yeux. Oui, il parait que mon regard est intimidant, comme celui de Jin et de Bak, normal quoi. Quand elle revient vers moi, je fronce les sourcils en voyant l’amas de pot qu’elle ramène. « Bon alors c’est parti ! » Avant qu’elle ne s’y mette, je lui demande, histoire d’en avoir le cœur net :

    « Tu sais que je rigolais, hein ? Je regarde tous les parfums, et d’un seul coup, ça ne me dérange plus tant que ça qu’elle m’ait pris au sérieux : Enfin bon, maintenant que c’est fait, ce serait bête de gâcher. » Mon visage est toujours plus ou moins impassible, seul un petit sourire voit le jour, et c’est l’unique preuve de ma satisfaction. Je sais ce n’est pas beaucoup, mais Na Jun me connait, elle saura voir que je suis content.

    Je la regarde, occupée avec son œuvre d’art et rigole doucement, mais plus la glace grossit, moins ça m’amuse, quand est-ce qu’elle va s’arrêter exactement ? O.O « TADAAAM ! » J’attrape le cornet avec précaution et le regarde sous tous les angles : « On devrait pas prendre une photo ? » Je veux dire, c’est assez impressionnant quand même, ce serait bête de n’avoir aucune preuve. « Si tu en veux une autre, tu me le dis ! » Je la regarde et manque d’éclater de rire. Une autre ? Elle est sérieuse là ? Quoi que… « Etant donné que je vais sûrement en foutre partout, où qu’elle va fondre, ou tomber par terre, peut-être que j’en voudrais une autre oui… » Dis-je en souriant un peu plus qu’à l’accoutumé, amusé par la situation, essayant de manger ma glace avant qu’elle ne me tombe sur les genoux. « Hum… Qyô, j’ai plus de sous pour acheter les chaussures à claquettes… » Continuant de manger ma glace, je regarde Na Jun :

    « Effectivement, c’est fâcheux. Je la regarde et note qu’elle est en talons. « Faudra que tu trouves un autre truc. » Je fais mine de réfléchir : Tu viens chez moi cuisiner ce soir. Je la regarde plus sérieusement : Et pas des pâtes. »

    Je l’embête, mais j’ai déjà cuisiné quelque chose pour moi ce soir, ce n’est juste qu’une invitation à venir chez moi, on a toujours des trucs à se raconter avec elle de toute façon.

Revenir en haut Aller en bas
♕Contenu sponsorisé


Je t'en foutrai du Bozo le clown moi. Vide

Revenir en haut Aller en bas

Je t'en foutrai du Bozo le clown moi.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mangyo University :: Corbeille-